run little dydy, run !

Une journée assommante comme je les aime. Certes quelquefois j'aimais bien rien faire de mes journées, mais cela m'arrivé peu souvent. Je n'étais pas superactif, mais presque. Depuis toute petite -depuis Santa maria la ville ou j'étais née- j'ai toujours fait plein d'activité. Aujourd'hui le programme avait été : le matin les cours, l'après-midi les cours de tutorat que je donnais à certain étudiant de l'université suivie et enfin ce soir il y avait l'entrainement des cheerleaders. Qui disait entrainement, disait Dylan, mon petit Dydy ! Je l'avais pas vu de toute la journée : ni après mes cours devant la porte ni pendant l'heure du déjeuné. Mais il m'avait envoyé un message me disant qu'on ne se verrait que ce soir pendant l'entrainement et après si je voulais. Je ne lui avais pas répondu me disant simplement qu'on se verrait ce soir de toute façon.

J'étais dans ma chambre ou je cherchais désespérément mon sac d'entrainement. Pourtant j'étais sur de l'avoir posé sur mon lit ce matin en partant. Ayant cherché partout -j'allais être en retard- je finis par aller dans la chambre de Léane. « Je trouve pas mon sac de cheerleaders, tu ne l'aurais pas vu par hasard ? » dis-je en déboulant comme une furie dans sa chambre. « je ne suis pas la gardienne de tes affaires mademoiselle Deegan ! Mais je sais que tu l'as mis dans la salle commune ce matin ... apparemment tu croyais que ça aller te faire gagner du temps ! » dit-elle en souriant légèrement. « ah oui c'est vrai ! Merci chouchou ! » Je lui claquai un rapide baiser sur la joue avant d'aller dans la salle commune au Sigma et partir direction l'entraînement. J'étais déjà en retard d'une vingtaine de minutes quand j'arrivais dans les vestiaires. Évidemment, il n'y avait personne. Je me changeai rapidement et déboulai dans le gymnase. J'allais me diriger vers mon groupe de fille quand je vis Dydy non loin de moi entrain de boire. Je sautillais vers lui en souriant. « alors Dydy, on est déjà assoiffé ? »

run little dydy, run !

Après mon dernier cours de tutorat -une vraie horreur puisque j'étais avec un jeune homme qui venait à peine de finir le lycée et qui ne voulait qu'une chose, me voir dans son lit alors qu'il ne m'attirait pas du tout- je courus jusqu'à ma chambre pour pouvoir prendre mon sac et filer jusqu'à l'entrainement. Malheureusement, impossible de trouver ce foutu sac. Apparemment, ce matin quand je m'étais levée je devais pas avoir toute ma tête parce que j'étais persuadé de l'avoir laissé sur mon lit. Or je l'avais déposé dans la salle commune de sigma. Moi qui voulais gagner du temps, j'en avais perdu quinze minutes en retournant ma chambre. D'ailleurs en rentrant je devrais absolument la ranger. Bref, une fois mon sac en main je partis à l'entrainement avec vingt minutes de retard. Heureusement, j'étais plutôt chanceuse notre coach m'aimait bien et -avouons-le- j'étais plutôt douée. La danse, j'avais ça dans le sang depuis toute petite. Je n'avais jamais pris de cours réel de danse, jusqu'à que je rentre dans l'équipe des cheerleaders de mon lycée. Tout naturellement, j'avais continué à la fac parce que j'adorais ça. Non seulement je dansais, mais en plus nos horaires d'entrainement étaient les mêmes que les footballeurs américains. J'étais plutôt ravie, comme la plupart des filles. À la fac, même si les jeunes hommes étaient beaux, personne ne m'intéressez assez pour que je le regarde, excepté Dylan. Mais lui, c'était parce qu'il était devenu mon ami rien d'autre. D'ailleurs, dès que je le vu, je me dirigeais plutôt vers lui au lieu d'aller voir mon équipe. «et oui dada, quand on arrive à l'heure, on a soif après vingt minutes. Je parie que tu avais encore oublié ou tu avais foutu ton sac . Comme tu as oublié de me répondre d'ailleurs...» C'est fou comme cet homme me connaît par coeur ! Et puis, il m’appelait Dada, je trouvais ça trop mignon !« Ah pardon monsieur je suis toujours à l'heure ! » C'est vrai qu'il n'était pas difficilement pour les gens d'être moins en retard que moi. C'est simple : j'étais pratiquement toujours en retard. Mais personne n'en tenait compte puisque j'étais du genre bosseur. « Non pas du tout ! Il y a eu juste un malentendu sur l'endroit où je l'avais posé, c'est tout ! » dis-je avec un sourire malicieux. Lui comme moi, on savait que je mentais. Enfin non je ne mentais pas, j'arrangeais simplement la vérité. « Je n'ai pas oublié de te répondre Dydy ... » Je lui souris en lui tirant la langue avant de lui tourner les dos et partir rejoindre l'équipe. Elles s'étaient déjà échauffé, donc je fis seul quelques tours et des étirements. Une fois prête, je les rejoignis pour la chorégraphie qu'on devait faire pour le prochain match.

run little dydy, run !

Je commençais à me dirigeais vers mon équipe quand j'entendis Dydy me dire quelque chose qui me fit rire. « Je suis dévasté Dada ! Je pensais qu'il y avait quelque chose entre nous ! » Je fis encore quelques pas avant de me retourner et de lui sourire malicieuse en haussant les épaules. Juste avant de me retourner, je lançais un regard vers l'équipe de football toujours avec ce regard malicieux. Pour la plupart me regarder avec envie. J'aimais ça, être le centre de l'attention, surtout quand je l'étais auprès de garçon. Ça me donnait ... du pouvoir. Je sais pas trop ce qu'avait fait germer dans la tête de l'équipe de football américain la phrase de Dydy, mais j'avais eu une lueur de désir dans leurs yeux. À croire qu'ils aimaient bien ne pas avoir les choses en mains. De toute façon, avec moi, ils ne les auront pas. Je sais que ça pouvait être agaçant, mais j'aimais contrôler les choses. De toute façon on m'aime ou on ne m'aime pas, ça revient on même. Je ne changerais pas.

J'arrivais -enfin- jusqu'aux filles en saluant celle que je n'avais pas vue pendant la journée -donc la plupart d'entre elle. Une fois mon échauffement fini, je les rejoins pour la future chorégraphie du prochain match. La danse, je l'avais vraiment dans le sang. Je n'avais pas besoin de réfléchir quand j'enchaînais les chorégraphies. Ça aller tout seul. Après une bonne vingtaine de minutes ont travaillé les pas au sol, on passa sur les portés. Le monde avait tendance à oublier qu'à la base, les cheerleaders c'était des mecs et qu'aujourd'hui il y en a toujours dans les équipes. Mais surtout qu'ils ne sont pas tout gay -AMEN ! Ils étaient bien bâtis, fort et beau, mais surtout très serviable pendant les portés. J'avais plus confiance quand je savais que c'était un mec qui allait me rattraper qu'une fille, ça tombe sous le sens. « Okay les filles ... et les garçons, une pause de dix minutes et on reprend sur les derniers portés ! » Enfin ! Je l'attendais cette pause. Je me dirigeais vers les bouteilles d'eau et en descendis. Je ne m'étais pas rendu compte que j'avais aussi soif. « dis dada, la nouvelle blonde comment elle s'appelle ? Elle est plutôt mignonne. À ton avis j'ai une chance ? » Je déposais ma bouteille en regardant la fameuse blonde dont me parler Dydy. Elle était arrivée ... je ne sais plus quand. C'est vrai elle était mignonne, mais j'étais mieux qu'elle -sans devenir prétentieuse. « Dis donc Dydy, je ne suis pas ton arrangeuse de plan cu d'accord ? » dis-je plus méchamment que je ne le voudrais. Je lançai un regard mauvais à la nouvelle -qui ne compris surement pas pourquoi- avant de regarder Dydy. « Tu pourrais au moins être plus discret quand tu la regardes ! Tu es limite entrain de baver là ! ». Oui, ça m'énervait qu'il soit intéressé par elle. Pas que je ressente plus que de l'amitié pour lui, seulement j'étais possessif et je ne supporterais pas qu'elle traîne autour de MON Dydy. « et puis tout ce que je sais sur elle, c'est qu'elle vient de Russe ou un truc comme ça ... De toute façon tu t'approches pas d'elle okay ? » dis-je en lui prenant son visage dans ma main droite pour faire que nos regards se croisent. Je savais très bien ce qui pouvait en ressortir de ce genre de relation et je voulais pas de ça : ni dans mon équipe, ni ailleurs.

run little dydy, run !

C'est officielle. Je déteste toute les russes blondes de cette planète. Bon je sais, ça fait beaucoup mais je m'en moque. J'aime ça, détestais les gens. « Et si tu ne le fais pas Dada, tu me sers à quoi alors ? » J'étais entrain de maudir mentelament la blonde quand il me sortis cette phrase. « Je bave si je veux déjà et puis Russe tu as dit ? Intéressant. C'est un pays de gymnaste, elle doit être souple... » C'est bon ! Il m'avait mis une vision d'horreur dans la tête. Le connard, il allait pas s'en sortir comme ça. Je le regarda dans les yeux et lui souris malicieusement avant de lui envoyer ma main sur sa joue. « Je sers à te remettre les idées en place lorsqu'il le faut ! ». Aller bim, dans ta gueule Dydy ! En même temps il l'avait bien cherché. Bon j'avais pas mis tant de force là dedans. Il aurait encore mal jusqu'à -seulement- demain et aurait -avec un peu de malchance- encore une trace dans cinq heure. Mais bon ça n'allait pas viré au bleu ... à mon plus grand désespoir ! Je voyais un sourire en coin se formé sur ses lèvres. Pire que ce mec, j'avais pas encore trouvé ! Et Dieu seul sait que je n'avais pas vraiment cherché. « Putain Isaac tu fais chié ! » Cette phrase je lui ressortais souvent dans nos premières rencontres. Et même aujourd'hui j'étais obligé de lui redire.

run little dydy, run !

Finalement, je l'aimais bien ce coach ! Enfin celui de l'équipe de football quoi ! Bon d'habitude je pestais toujours après-lui parce qu'il avait toujours un truc à dire sur nous les cheerleaders ! Mais là pour une fois, j'appréciais vraiment comment il avait rappelé Dydy. Quand même, en y pensant, les gens doivent nous trouver bizarre lui et moi. On est souvent ensemble, mais on s'affiche jamais -en même temps ya rien à affiché. Pourtant, très souvent les gens nous croient en couple. Pourtant, ce n'est pas comme si on avait une relation ambiguë. Certes, Dydy des fois fait le con, mais comme je lui ai dit tout à l'heure, je suis là pour lui remettre les idées en place ! Dydy retourna docilement vers son équipe mais se retourna pour me faire un clin d'oeil ... à moi et à la russe. « eh Isaac ! » dis-je en criant son nom de famille. Il se retourna et je lui fis un doigt plein de rage ! J'avais cette fâcheuse tendance à devenir très vulgaire lorsque j'étais énervée.

Finalement, on reprit chacun notre entrainement. Tout le monde avait assisté à la petite scène qu'on avait offert Dydy et moi. Donc logiquement, tout le monde savait que j'étais d'une humeur massacrante. Tout le monde sauf la russe qui venait me péter sa joie à la gueule pendant tout le reste de l'entraînement. Que quelqu'un fasse quelque chose avant que je la tue ! Elle riait avec son rire de conne qui résonnait dans tout le gymnase. Le pire dans tout ça, c'est qu'elle lançait des regards à Dylan. Et -non-pardon c'est ça le pire- c'est qu'il n'arrêtait pas de lui sourire. Ah je les connaissais ses sourires là. J'avais déjà vu Dydy passait à l'action. C'était le genre de sourire qui disait : "T'inquiète pas, je te fais ton à faire à la sortie du gymnase !". Je n'en pouvais plus. « eh la russe là ! Oui toi avec tes cheveux de merde ! Si tu n'es pas là pour bosser, t'es gentils tu dégages ! » Je sais pas ce qu'elle avait compris, mais elle a commençait à s'exciter toute seule. Elle parlait à moitié russe ce qui m'énervait encore plus car je ne comprenais rien. Elle se rapprochait, rapprochait tout en parlant et une fois qu'elle fut à bonne distance, je lui balançais mon poing dans la figure. Non cette fois-ci ce n'était pas une claque. S'ensuit un bordel que je ne suivis pas trop, trop occupé à essayer d'en foutre un autre à la blonde. « Deegan ! Sur le banc maintenant ! Tu te calmes et tu reviens sur le terrain ! » C'est tout ce que j'entendis une fois qu'on m'avait arraché au corps de la blonde. Sans ajouter quelque chose je partis m'asseoir sur les bans. Dans d'autres circonstances, je sais que le coach m'aurait viré, mais je savais qu'elle m'aimait bien. Je fis donc ce qu'elle me dit : j'essayais de me calmer. Difficile quand je sentais les regards de Dylan sur moi. Tiens, il ne voulait plus de ça blonde celui-là ?

run little dydy, run !

« eh euh... ça va dada ? ... » Non ça va pas triple con ! Tu me saoules, la russe me prend le chou, j'ai mail à la main droite et je suis fatiguée ! Le pire dans tout ça, c'est que tu viens me faire chier avec tu es ça va dada ? C'est ce que j'aurais dû lui répondre, mais la vérité c'est que j'étais fatigué. Alors je levais simplement le visage rapidement vers lui et hochai la tête avec un petit sourire avant de répartir dans la contemplation de ma main droite qui avait un peu gonflé. Je devrais mettre de la glace, mais j'avais vraiment la flemme de me lever. Elle était même rouge -un peu- et quand je la dépliais et repliais, ça me faisait mal. Mais bon, ce n'était pas la première fois que je frappais quelqu'un avec mon poing. D'ailleurs, j'évitais en général de me battre. Je préférais la subtilité comme faire de sa vie une misère sans fond. Mais bon, aujourd'hui j'étais crevée, et dans ce cas-là je devenais impulsif. Dydy m'avait pris la tête, elle m'avait pris la tête et mon poing était partis tout seul.

Pour une fois -AMEN !- Dydy ne parlait pas beaucoup. Je souris à ce pensé et lançai sans regarder le concerner. « C'est la première fois que tu te tais pendant aussi longtemps ! » dis-je en souriant. Puis je lui fis signe de s’asseoir près de moi, ce qu'il fait -docile le petit Dydy. Je déposais ma tête sur sa cuisse et m'allongeais tout en regardant mon équipe s’entraîner. « bon, je sais pas son prénom, il était trop compliqué mais je sais qu'elle porte un prénom russe ! Je sais aussi qu'elle est russe et qu'elle est venue ici grâce à un programme d'échange. Il me semble qu'elle étudie l'économie et qu'elle passe l'année ici. Je sais rien d'autre et je ne chercherais rien d'autre. Mais si tu couches avec elle, je veux pas le savoir ! Et fait en sorte qu'elle ne fasse pas de scène pendant les entrainements okay !? » dis-je d'une petite voix. Okay, je m'étais montré trop possessif. Après tout, c'était un grand garçon, il couchait avec qui il voulait. Et puis s'il avait envie de cette conne blonde -surtout que maintenant je l'avais plutôt bien amoché- c'était tant pis pour lui. De toute façon, j'avais toujours sur au fond de moi qu'il n'avait aucun goût ! « eh attention, si tu me zappes pour celle-là, je te castre ! » dis-je d'une voix plus tranchante, mais quand même su un ton d'amusement. Je n'avais jamais connu le Dydy en couple, même en relation libre. Sur le coup, je crois que j'avais eu peur qu'il m'oublie. Je l'ai toujours connu vagabond entre les différentes meufs ! Je sais pas ce qui m'avait fait penser que peut-être, elle pourrait être la bonne -comme on dit- pour lui ... puis finalement j'avais perdu le capte. Mais en regardant du coin de l'oeil Dylan, je savais que cette fille-là serait comme les autres, aucun souci à se faire.

run little dydy, run !

Finalement, peut être que le fait d'être sur le bans m'avait calmé ... ou c'était seulement ma main qui me faisait trop mal. Je sais pas comment les gens qui se battent tout le temps font ! Ça fait un mal de chien quand même ! Allongeais sur le banc, après mon petit -long- discours à Dydy j'étais plus que calmé. C'était comme si les événements qui s'était passé plutôt n'existait pas. Bon rien ne dit que si je revoyais la russe, j'allais pas encore m'emporté. Mais bon, je suis sur que je saurais me contrôler. « T'es trop possessive. » Je lui lançais un regard genre : "Non jure ? Tu m'en apprends une chose là ! Merci je dormirais moins bête !" Mais je ne dis rien, me contentant de lui lancer ce regard. Après tout, c'était vrai j'étais possessif. Et j'essayais pas de me soigner ! J'avais d'autre chat perfide à fouetter ! « Et puis de toute façon, t'en fais pas. C'est certainement pas pour elle que je vais te lâcher. Sérieusement, tu l'as entendu rigoler ? Je suis beaucoup trop drôle pour pouvoir supporter son rire. Je l'entendrais trop souvent ! » Ceette fis-ci je ris. Oui j'avais entendu son rire de merde et je l'avais trouvé horrible mais je m'attendais pas à ce que quelqu'un pense la même chose. Quelque fois j'avais une vison fausse des choses à cause de ma possessivité. Mais cette fois-ci, j'avais vu juste au moins. « Parce qu'elle a un rire de merde, t'as plus envie de la baiser ? » Bon j'avoue, c'était une raison potable ! Et puis, Dydy se croyait drôle alors qu'en fait non il l'était pas. Du moins, ça lui arrivé quelque fois. Je me redressais un peu regardant l'horloge affichait sur le panneau : dans trente minutes l'entrainement serait terminé. Tout le monde rentrerait dans son dortoir. J'en avais vraiment envie moi aussi, seulement j'avais à peine vu Dydy de la journée et disons que l'entrainement ne s'était pas déroulé sur des roulettes. Je remettant dans mon position initiale -allonger quoi- je lui dis. « Tu m'amène mangeais tout à l'heure. Tu me dois bien ça ! » C'était une affirmation. De toute façon je ne lui laissais pas le choix. « On va dans un restaurant avec une fontaine de chocolat ! » dis-je en souriant.

run little dydy, run !

« Bah oui, ca fait partie des conditions que les filles doivent remplir pour avoir la chance de coucher avec le grand Dylan Silas Isaac ! Et c'est l'une des plus importantes puisque comme tu le sais je suis assez drôle. Et si t'es sage un jour je te dirais les autres conditions à remplir. Mais bon pour ça faudra que t'arrêtes de taper les filles dès que je veux m'en approcher. » J'étais toujours allongée sur le banc, la tête sur ses cuisses, levant les yeux au ciel à ce qu'il me disait. D'accord, elle avait un rire de merde ... mais les conditions de Dydy -bien que je ne les connais pas toutes- sont encore plus merdique. Genre un mec ça sélectionnait les filles avec qui ils couchaient ! Toujours plus ! Tant que ça à deux trous et une bonne paire de seins, ça leur va ! « déjà je suis toujours sage moi ! Ce n'est pas moi qui ai voulu sauter la russe ! » dis-je en le regardant. « D'accord je l'ai frappé mais elle l'a mérité ! J'aime pas les gens qui l'ouvre trop ... sauf toi évidemment ! Et j'arrêterais de frapper les filles que tu veux -bien que c'était la première fois aujourd'hui- quand tu arrêteras de venir les chercher parmi les gens que je connais ! » Je le regardais avec un air accusateur. Tout le monde le sait, j'étais possessif ! Aller chercher ses plans cu parmi mes cheerleaders c'était un peu trop pour moi ! Même si c'était Dydy. « allez va pour la fontaine de chocolat ! Tu'as de la chance que je sache où il y en a une en ville parce que ça court pas les rues ! Du coup après la douche on file le bas, ça marche ? » toujours en étant allongée sur ses cuisses, je souris en faisant une petite danse de joie. « Owiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! » Je ris en voyant le regard que me lança Dydy. Oui quelquefois j'étais un vrai bébé, surtout quand il s'agissait de chocolat ! Je regardais quand même l'heure : vingt minutes et se seraient finies ... vingt minutes et à moi le chocolat. Mais en attendant, j'étais vraiment bien posée au calme là !