♒ à princeton depuis : 15/12/2013 ♒ devoirs : 68 Localisation : Bibliothèque. Non j'deconne !
| Sujet: Gabriel T. Dunhill || Life's a bitch. Dim 15 Déc - 12:55 | |
| The Story Of My Life " I just wanted to tell you that I'm the one who was supposed to take care of everything, I'm the one who was supposed to make everything ok for everybody. It just didn't work out like that. And I left. I left you. You never did anything wrong. I used to tried to forget about you, to pretend that you didn't exist. But I can't, I just can't. You're my boy, you're my little boy, and now, i'm a old broken down peace of me and I'm alone and I deserve to be alone. I just didn't want you to hate me. Love, Mom "
Accroupis dans un coin sombre de sa chambre, un soir de noël, Gabriel hurle sa peine, cette lettre froissée glissée entre ses mains crispées de peurs, de haine, d'incertitude. Qu'avaient-t-il donc tous à l'abandonner ?! Ils n'avaient pas le droit. Pourquoi était-il voué à souffrir de cette façon ? Cette lettre il la connaissait par cœur. Chaque phrase, chaque mot, chaque courbe de chaque lettre. Il l'avait tellement lues, en long en large et en travers, il devait bien y avoir une raison après tout ! Et cette raison, elle se devait d'être là, quelque part dans ses mots. Ces mots parfois à moitiés effacés par les larmes qui, trop souvent, coulèrent, encore et encore sans jamais pouvoir se tarir. Elle était tellement usée qu'il avait du la rafistoler à certains endroits. A moins que ce ne soit lorsque, de rage il l'a déchira en morceau. Mais pourquoi donc les gens s'acharnaient à lui échapper ? Quelques chose devait clocher chez lui, il ne voyait pas d'autre solution. Tout ceux qui l'aimait et qu'il aimait, disparaissaient à jamais. Ne laissant en lui qu'un immense vide de plus qu'il ne réussirait surement jamais à combler même s'il devait y passer sa vie. A quoi bon ? ... Les larmes cessèrent peu à peu de couler, ses gémissement se calmèrent. Ce devait être les médicaments qui agissaient enfin. Après plus d'une heure de souffrance bruyante il s'endormi, dos contre le mur, cette lettre toujours ancrée dans sa main...
Gabriel naquit un 19 Décembre enneigé quelque part en France, du moins c'est ce qu'on lui avait rapporté. Lorsque les sœurs le trouvèrent il devait tout au plus avoir 1 an. Il était emberlificoté dans des couvertures, ses petites joues rosit par le froid, gazouillant joyeusement aux yeux de ces étranges dames qui le trouvèrent. Il grandit entourés d'autres jeunes orphelins, gamins de rues, des rebuts de la société. Mais ce petit coin de paradis ne pouvait pas devenir sa maison pour toujours. Seulement, un jour arriva ou il fut prié de se présenter dans le bureau de la mère, propre, correctement habillé et sage. Il se plia à ces ordres et ce rendis donc dans ce bureau. Il savait maintenant, du haut de ses 6 ans et de ses chaussures trop grandes pour lui, qu'il allait partir avec des inconnus qu'il devrait appeler "papa" et "maman". Cette simple pensée lui donnait des hauts le cœur. Mais il fut surpris de tomber face à un jeune couple parfaitement apprêté, souriant et avec un léger accent pour la femme. A première vue, ils avaient l'air tout à fait charmant, et il découvrit par la suite, que c'était effectivement le cas. La jeune femme était française d'origine, lui était un riche américain. Ce couple avait décidé d'adopter à défaut de pouvoir avoir un enfant d'eux même. Mais pour le moment ceci ne signifiait pas grand chose au yeux de ce petit garçon dans sa chemise blanche jaunit par le temps et par les multiples garçon l'ayant portée avant lui. Il partit donc vers son "futur". La trajet dura une éternité. Tout d'abord une voiture beaucoup trop longue, toute noir avec seulement 2 grands canapés dedans pour s’asseoir. C'était nouveau et très étrange pour lui. Mais il s'en moquais, une nouvelle vie l'attendait. Il était partagé entre la peur et l'excitation. Après cette longue voiture, ce fut un tout petit avion qui s'envola pour un voyage qui lui semblait sans fin. Finalement il s'endormit et lorsqu'il se réveilla, il se trouvait de nouveau dans le même genre de voiture, emmitouflé dans le manteau de l'homme qu'il appellerait dorénavant "papa".
Ce petit bout d'homme n'était pas au bout de ses surprises. Lorsqu’enfin la voiture s’arrêta, et pour de bon cette fois ci, il fut éblouis par le grand soleil qui surplombait sa tête et du se frotter les yeux à de multiples reprise pour réaliser que le château qui se tenait droit devant lui n'était autre que sa nouvelle maison. Une armée de personne tout en noir se regroupèrent autour de lui et en un brouhaha incompréhensible pour lui le soulevèrent de terre, l'embrassèrent, lui sourirent. Gabriel ne comprenait strictement rien à ce qu'il se passait en ce moment, tout ce qu'il souhaitait, c'était un lit, ses doudous et dormir. Ses nouveaux parents le comprirent rapidement et il fut mené à sa chambre. Plus tard, il comprit qu'il aurait du la nommée : sa suite. Sa taille était outrageusement grande, emplis de jeu plus intéressants les uns que les autres, il y avait un piano, de grandes fenêtres et un lit qui aurait pu accueillir une dizaine de petits bout d'homme comme lui. Un fois sous les couettes, il s'endormit aussitôt.
Gabriel à maintenant 17 ans. C'est un jeune homme maintenant. Il se montre très doué au lycée, ambitieux et aimant envers sa famille. Il se montre, oui. Devant ses parents, il semble être l'enfant parfait, poli, brillant, déterminé à un beau futur, maîtrisant parfaitement l'anglais et le français mais aussi l'espagnol et l'allemand, résolvant des calculs bien plus avancé que son niveau, excellant en sport mais aussi en société, propre sur lui. Mais en dehors, l'hyper-actif qu'il est n'en fait qu'a sa tête. De sortis tous les soirs, abusant encore et encore des richesses de ses parents, s'achetant non seulement ses amis mais aussi les filles, l'alcool et maintenant la drogue. Certes, ses folies se ressentent sur ses résultats scolaires, son humeur, son appétit. Mais il déviât toujours ingénieusement les questions de ses parents, leur retournant flatterie et amour. Son petit jeu se déroulait à merveille. Il ne savait pas vraiment pourquoi il avait tant besoin de jouer ce jeu. Il semblait manquer quelque chose dans sa vie. Il ne savait pas quoi, un petit quelque chose. Au fond il s'en doutait, mais le niait. Se renfermait. Derrière son sourire discret mais affirmé, il mettais ses profs, ses parents et toutes jolies filles faciles dans sa poche. En fait c'était cela le problème. Tout était bien trop facile.
Jusqu'à se jour ou il rencontra l'une de ces filles. Vous savez, ce genre de fille qui vous change une vie en un battement de cil. C'était une grand brune, discrète, souriante, et naturelle. Le genre dont Gabriel n'avait jamais pensé tomber amoureux. Et pourtant c'est bien cela qui se passa. Il ne comprit jamais le comment du pourquoi, mais il ne s'en souciait plus. Il trouva en cette fille tout ce qui lui manquait. Elle l'aida durant son sevrage. La présenta à ses parents qui tombèrent raide dingue de cette fille si.. simplement parfaite. Il pouvait passer des heure à l'écouter parler, restant stoïque à côté d'elle, il l'emmena voyager, elle lui montra ce qu'était la tendresse et l'amour, le vrai. A 19 ans, il su que c'était la femme de sa vie, ils firent même des projets tout les deux, de vie à deux, d'enfants, mais surtout, d'études. Elle, voulait être un jour rédactrice, lui médecin. Et ils auraient vécus heureux pour toujours, il auraient vieillit ensemble, il seraient morts ensemble. C'était plus que de l'amour c'était fusionnel. Il ouvrit finalement son cœur aux autres, découvrit ce qu'était des amis, des vrais, repris sa vie en main et pour une fois dans sa vie, cessa d'être quelqu'un qu'il n'était pas.
Le soir de noël, l'année de ses 19 ans, il l'invita à passer la soirée chez lui. Il devaient partir à la fin de leur année scolaire dans cette université : Princeton, où ils accompliraient tous leurs projets, à deux. Elle accepta évidemment avec plaisir et, tellement pressée raccrocha avant qu'il ne puisse lui dire une énième fois qu'il l'aimait. Plus que tout. Qu'il aurait donné sa vie pour la sienne. Oui, sa vie il lui aurait donné. Spécialement ce soir là, quand, en descendant au salon retrouver ses parents pour leur annoncer la nouvelle après s'être préparé, il trouva son père, l'air sombre et sa mère en pleurs auprès de la grande cheminée. Lorsqu'elle le vit descendre l'escalier, magnifiquement beau dans sa belle chemise, elle accourut vers lui et lui sauta au coup et le priant, entre deux sanglot de ne rien faire de stupide. Affolé, mais surtout ne comprenant pas, il lança un regard à son père lorsque la panique le saisie au ventre. Son père, surement par détresse ne lui lança que trois mots. trois mots plus dur que tout. Elle est morte. Il n'y cru tout d'abord pas. C'était une mauvaise blague, une blague de très mauvais gout. Ce n'était pas possible, tout simplement pas possible. Il venait de l'avoir au téléphone. Nerveux, il s'esclaffa d'abord, mais quand sa mère le gifla, il comprit que c'était réel. Elle était morte. Elle n'était plus. Il ne pourrait jamais plus la serrer dans ses bras, jamais plus sentir son odeur, jamais plus apercevoir son si jolie sourire au petit matin, plus jamais l'entendre crier parce qu'il n'y avait plus de shampoing, crier parce qu'il lui avait volé sa serviette de bain. Plus de vie, plus de souffle. Partis. Elle aussi. Il se dégagea de sa mère si violemment qu'il l'envoya à terre. Il remonta les escaliers quatre à quatre, ouvrit son tiroir de chevet, en tira une boite de pilules, la lettre de sa mère, alla chercher un grand verre d'eau, avala l'ensemble de la boite et tomba, dos au mur, les yeux rivé sur cette lettre. Qu'avait-il donc fait à cette putain de vie pour en arriver là..
Il se réveilla à l'hôpital, fatigué, les yeux encore humides de larmes, son père assoupit dans un fauteuil, à ses côté sa mère qui se jeta sur lui dès qu'il ouvrit les yeux. Partir, loin, loin de tout. Mourir. A sa sortie de l'hôpital, il fit son sac et pris un billet simple pour la France. Il y passa un an, un an de débauche et de luxure, puis rentra, sans même avoir appelé une seule fois ses parents. La première phase de son deuil était terminée. Il allait reprendre ces études et réussir le seul projet qui tenait toujours depuis ce fameux noël. Devenir médecin. Pour elle. Il n'y avait plus que cela qui comptait. Et s'il fallait pour cela, recommencer à vivre comme avant cette rencontre, alors il le ferait. Et il n'irait pas dans n'importe qu'elle université, il irait à Princeton.
ÂGE 20 ans DATE DE NAISSANCE 19/12/1992 VILLE DE NAISSANCE Inconnue mais en France ETUDE/MÉTIER Inscrit en science NATIONALITÉ Française et Anglaise ORIENTATION Hétéro ORIGINE Française CONFRÉRIE CONFRÉRIE Alpha #1 Je suis beau, intelligent, manipulateur, je profite des bienfaits de la vies : alcool, drogue et jolies filles. Je serai chef de service dans un hôpital réputé, en attendant je dilapide l'argent de ma famille d'adoption. Mais je peut aussi être gentil, patient, romantique et touchant s'il le faut, suffit juste de me le demander hein ! CONFRÉRIE Zeta #2 J'ai de l'argent. Beaucoup d'argent, Trop d'argent. Et je commence à être à court d'argument. Vous voulez un RIB ? Ou direct une photocopie de mon compte ? Ou alors j'peux vous offrir la voiture de vos rêve si vous voulez. Suffit de demander, encore une fois, chui pas radin. Encore moins si vous êtes une femme, célibataire ou non, avec des jolies courbes et une belle répartie. Intelligent Impulsif Déterminé Sournois A l'écoute Manipulateur LES MANIES, SECRETS, HOBBIES Gab est un hyper-actif, je ne vais pas non plus vous en faire une description, tout est indiqué dans le titre ! Il ne tiens tout simplement pas en place. En cours, il à toujours besoin de taper du pied, de jouer avec son stylo de gribouiller sur une feuille. Il avait des médicaments étant plus jeune mais il à décider de les arrêter, ne considérant pas l'hyper-activité comme une maladie, paradoxale pour un mec qui veut devenir médecin ? Ca promet. Bref, Il est aussi impatient, imprévisible et on le vois souvent au milieu des bagarre. Mais, toujours du coté du plus faible, donc c'est une bagarre justifiée selon lui. Et puis, ça le calme, de taper sur des trucs. Ne vous en faites pas c'est pourquoi il prends régulièrement congé en salle pour une partie de boxe ! Ce côté impulsif mis à part, c'est un jeune homme parfaitement bien éduqué, et pour cause, sa famille y à mis un point d'honneur. Il est très poli, et peut tout à fait passer pour un gentleman si le cœur y est. Ou pas, mais dans ces cas là il devient limite sournois et détestable par ses manières. Il joue un double jeu en permanence, mauvais garçon bagarreur, cynique et grande gueule il a pourtant autant de qualité qu'un petit poussin sortant tout juste de sa coquille. Si si je vous assure, il est au fond déterminé, rigolo, aimable, un grand romantique et un intello. Mais ça, c'est le côté réservé à sa famille et à ses plus proches amis. Amis. AHAH à sa famille en fait. Au lycée il prétendait être quelqu'un qu'il n'était pas et cela fonctionnait très bien. Pourquoi changerait-il ? | | |
| | TON PRÉNOM Mamie TON PSEUDO Euka TON ÂGE Bientot 21 ans TA RÉGION Normandie RPZ SUSU TON AVIS SUR LE FORUM J'aime énormément le design ! Il est simple, ne m'explose pas les yeux et on s'y retrouve facilement. Et pour le peu de temps que je suis là, les membres ont l'air GENIALISSIMES :p OU L'AS-TU CONNU ? Top site RPG mais je ne sais plus lequel VEUX-TU ÊTRE PARRAINÉ ? Pourquoi pas LES CRÉDITS DES IMAGES Les crédits sont sur les images ! PERSONNAGE INVENTÉ OU SCÉNARIO Inventé AUTRES COMPTES ? RAS CÉLÉBRITÉ Shiloh Fernandez |
Dernière édition par Gabriel T. Dunhill le Dim 15 Déc - 14:16, édité 6 fois |
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