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 And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..

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Gabriel T. Dunhill
Gabriel T. Dunhill

à princeton depuis : 15/12/2013
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MessageSujet: And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..    And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..  EmptyDim 29 Déc - 21:38

"Non non Gaby, ne la laisse pas toute seule. Je vais accompagner les parents, toi, tu reste avec elle. Elle à besoin de toi tu sais.. "

Elle me lança un sourire un peu déçu, surement de ne pas pouvoir rester avec son amie, et ferma délicatement la porte derrière elle. Je me retrouvais donc seul avec Calli dans cette immense suite. Elle était assoupie sur le canapé, paisible. Tout en posant ma veste sur le porte manteau, je ne pouvais m'empêcher de garder un oeil sur elle. La voir ainsi endormie, semblant enfin en paix me fit décrocher un sourire.

La nuit commençait à tomber sur Monaco, les rues ne désemplissaient pourtant pas. En plein mois d'aout, les gens en profitaient pour sortir, s'amuser, boire jusqu'à oublier les problèmes de la vraie vie. En temps normal, j'aurais certainnement fait partis de ces gens là. Mais depuis quelques temps, je m'étais de nouveau calmé. Tout en allant à la cuisine faire bouillir de l'eau, je me perdis un instant dans mes pensées. Faire le point. C'était un des rare moment ou je m'autorisais à divaguer ainsi, me perdre dans mes souvenirs. Cette année avait été éprouvante pour Calli et moi et ces vacances tombaient à pics. Adossé au bar de la cuisine, j'observais Calli. Nous nous connaissions depuis notre jeune âge. l'image de nous gamins me fit sourire franchement cette fois-ci. Nous avions bien changés, presque adulte, en pleine transition comme le disais si bien nos parents. Maintes fois nous nous sommes perdus de vus, maintes fois j'ai joué au con avec elle, ça on peu le dire. Et pourtant, ce petit brin de fille avait toujours voulu croire en moi. C'était quelque chose que j'avais mis du temps à comprendre. Elle tenait tout simplement à moi.

La bouilloire m'indiqua de son petit bruit particulier qu'il était temps de sortir des tasses et le thé. Je m'activais donc, versa l'eau bouillante sur les petits sachets de thé et apporta les deux tasses sur la table basse à côté du canapé. Je pris place surle fauteuil en fasse d'elle et me perdis de nouveau dans mes pensées. Décidemment.. Elle avait perdu celui qu'elle croyait l'homme de sa vie il y a de ça un peu moins d'un mois et j'avais perdue celle qui étais la femme de ma vie au noël dernier. La vie vous fait parfois des coups bas sans raison apparente. Et dans ces cas la, nous n'avons d'autres choix que d'avancer. Il avait fallut ces deux pertes pour nous retrouver. J'avais plutôt choisis de reculer, de m'enfoncer, tandis que Calli me trainer sans cesse vers le hauts. Cette fois ci, c'était à moi d'être là pour elle. Elle avait sue me faire avancer, il allait falloir que je trouve les mots pour, à mon tour, la faire sourire de nouveau. Seulement.. Je n'avais jamais fais ça auparavant. Je ne savais même pas me réconforter moi même, comment voulaient-ils tous que je fasse pour la faire avancer, elle ?

J'étais tellement perdus dan mes pensés que je n'avais pas remarqué qu'elle avait ouvert un œil et qu'elle me fixait bizarrement. Elle devait savoir pertinemment que j'avais de sombre pensés. Elle savait de toute façon tout de moi. Malgré mes efforts pour tout cacher, il n'y avait pas moyen, Calli lisait en moi comme dans un livre ouvert. Et ça avait le don de m'énerver. Dans le bon sens. Je lui décochais un sourire qui se voulu réconfortant.

- Comment va ma marmotte ? Tes parents et Savannah sont partis, ils n'ont pas voulus te laisser seule. Alors... te voila avec grincheux pour passer une merveilleuse soirée ! Je t'ai fait du thé.

Pas très délicat me direz-vous ? Je n'y peut rien. Je suis comme ça, j'ai pas la science des mots. Enfin, tout dépends des circonstances. Il y a quelques domaines que je gère. Mais ce sont des domaines ou Calli ne corresponds pas. Ou une amie, ne rentre pas.


Dernière édition par Gabriel T. Dunhill le Ven 3 Jan - 14:41, édité 1 fois
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Calliopée G. Rhodes
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MessageSujet: Re: And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..    And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..  EmptyLun 30 Déc - 22:44




And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ...
Calliopée s’était endormie d’épuisement sur le canapé de la suite que sa famille louait à Monaco. Cela fait un peu plus d’un mois qu’elle fonctionnait comme ça, elle ne dormait que quand elle s’écroulait de fatigue et que la caféine ne faisait plus effet dans son corps réclamant du repos. Et cela faisait trois jours qu’elle avait tenu avant de s’affaler dans ce canapé pour un sommeil sans rêve enfin plutôt sans cauchemar. Elle ne vivait plus et c’était bien ce qui inquiétait ses parents et Savannah qui avait sonné l’alerte en voyant sa jumelle se détruire ainsi. Ses parents prévenant avaient répondu à l’alerte en l’éloignant de l’Angleterre à leur manière puisqu’ils avaient choisie Monaco en lieu de ressourcement, pas vraiment un choix parfait. Mais les Rhodes faisaient partit de ses familles qui avaient de quoi survivre pour encore au moins cinq générations alors ce choix leur paraissait plus évident qu’un autre. La jeune fille, à défaut de se rebeller contre cette idée qu’elle jugea idiote, avait demandé à être accompagnée par Gabriel, son ami d’enfance. Ils avaient connus des hauts et des bas ensembles, des bas surtout causés par le garçon mais elle lui était restée loyale et l’avait toujours considéré comme son ami. Elle se souvenait encore de quand il enchainait les filles, elle consolait les pauvres célibataires dont il abusait et elle le défendait face aux copains devenu cocu qui voulaient lui refaire le portrait tout comme face à ses filles qui jouaient les victimes. D’ailleurs, à cette époque, des rumeurs avaient courut en disant qu’elle était clairement la seule fille digne de lui puisque même trainée dans la bouée, elle lui restait fidèle. Certains avaient même parié sans argent qu’un jour, ils seraient ensembles. Cela lui avait toujours semblé ridicule à Calliopée, elle voyait Gabriel comme un ami très proche et ses agissements étaient surtout pour le petit garçon innocent qu’elle connu. Un petit garçon qu’elle savait vivant au fond du salaud qu’était devenu son ami. Un salaud qui s’était calmé depuis peu et qui la soutenait de manière maladroite certes mais la soutenait face à une rupture qui l’avait faites chutée dans un endroit sombre dont on ne sortait pas indemnes.

La jeune fille finit par se réveiller tournant doucement la tête vers la seule personne qui était dans la pièce à savoir Gabriel. En voyant la pénombre de la suite, elle en avait déduit que ses parents et Savannah s’étaient rendu à la réception sans elle qui dormait et Gabriel qui avait eut la charge de veiller sur elle. Mais ce fut son visage qui l’inquiéta plus que la désertion de sa famille. Il ruminait des sombres pensées et elle n’aimait pas ça. Oh, elle ne voulait pas le monopole de la tristesse pour se plaindre mais pour éviter que les autres souffrent en particulier ses proches dont Gabriel faisait partit. Elle réfléchissait à comment la tirer de ses pensées sombres sans lui faire peur et avec son état d’esprit actuel, autant dire rien ne lui venait. Elle sourit quand il lui parla laissant même échapper un petit fou rire qui lui remontait le moral. Elle se saisit de la tasse de thé et en bu une gorgée avant de lui répondre. « La marmotte va bien. Et le thé de Grincheux est excellent. Même si je pense que pour cette soirée, il pourrait se transformer en prince charmant, le petit Grincheux. Pour tirer sa Blanche-Neige de son profond sommeil de noirceur… » La jeune fille avait embrayé sur le conte de Blanche-Neige et des sept nains sans réfléchir une seule fois aux conséquences que cela pourrait avoir. Après tout, Gabriel avait un passif de coureur de jupons et elle lui tendait une perche assez énorme. Mais elle ne s’en souciait pas, n’y pensait même pas à vrai dire et même si l’idée l’avait effleuré, elle se serait dit que cela lui apporterait l’oubli qui lui manquait pour un temps.

© charney

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Gabriel T. Dunhill
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MessageSujet: Re: And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..    And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..  EmptyMar 31 Déc - 11:37

Sans même  m'en rendre compte j'avais réussis à la faire rire. I y avait quoi de drôle exactement dans ma phrase ? Aucune idée mais de l'entendre ainsi rigoler me fit un bien fou. Je quittais mes pensée pour ne me focaliser que sur elle. Finis de se morfondre sur mon passé douloureux, aujourd'hui, et ce soir surtout, je devais être là pour la réconforter, lui apporter mon soutiens. Quand elle me demanda de passer de grincheux à prince charmant, je ne pus m'empêcher de rigoler à mon tour.  Me redressant dans le fauteuil je la fixais d'un air charmeur.

- Prince charmant donc ? Hummm...

Je me leva d'un geste rapide e fluide, et en quelques secondes je me retrouvais accoupie mon visage face au sien.

- Commençons par le commencement alors.

Je lui lâchais un large sourire et vint déposer un baiser sur son front, encore chaud du sommeil tranquille qu'elle venait de quitter. Sans même songer un instant à mes actes je lui passais une main sur sa joue. Je n'avais jamais fais preuve d'autant de tendresse envers elle, mais je ne savais pas pourquoi, je sentais que c'est ce qui lui manquait en ce moment. De la tendresse. Ses parents s'acharnaient à la couvrir de milles cadeaux pour lui remonter le moral, et Savannah l'écouter en silence de longue heures. Mais personne n'avait songé que ce qui lui manquait le plus, depuis sa rupture, n'était seulement que de la tendresse. Un sourire, un geste, qui ne soit pas ponctué de pitié ou de tristesse partagée. Non, en vrai je m'en moquais bien de sa tristesse. Ce que je voulais, c'était qu'elle rie de nouveau, et pour ça, ce n'était pas en partageant sa peine que ça allait arriver. De toute façon, j'étais devenus, avec le temps, imperméable à toute forme de compassion. Et de la tendresse, je savais en donner.

Du moins, je savais l'imiter. Sous toute ses formes. Je voulais lui faire oublier ces hommes de passage qui ne l'avaient pas regardée ou mal, ces aventures au goût amer, ces rejets qu'elle camouflait sous un masque de petit soldat fier. Je la sentais parfois si fragile, si chancelante, sans point d'ancrage à présent, jouant des rôles dans lesquels elle se perdais. Petite fille tremblante ou séductrice chevronné, apprentie balbutiante ou chef de chantier galonnée. Je ne voulait pas la changer. Je voulais qu'elle se reconnaisse, qu'elle fasse la paix avec elle-même, qu'elle abandonne ses masques et ses peurs. C'est cela que j'avais ressentie en la retrouvant : sa dérive éperdue, prête à se donner au premier venu pour qu'il lui parle d'elle, qu'il lui donne confiance en elle. En quête d'un regard qui la reconstruirait. Soudain, ça me frappa, comme une évidence : j'étais ce regard. J'allais la reconstruire. J'étais assez fort pour deux maintenant.

 Je n'avais pas remarqué que ma main n'avais pas quitté sa joue alors que je songeait à un stratagème - parce que c'était cela - pour lui faire redécouvrir le monde. Un peu gêné mine de rien, je la retira doucement. Sentant comme une tension naissante dans l'atmosphère, je passais mes mains sous elle et d'un coups vif mais délicat, me redressais, droit sur mes jambes, Calli reposant entre mes bras, quelques peu déstabilisée par cette relevée soudaine.

- Viens, blanche neige, que je te montre mon royaume !

Un rire éclata au coin de mes lèvre et je l’entraînais vers les grandes baies-vitrée du salon. Monaco était complètement illuminé dehors, et la nuit était d'un noir de plomb. Pas une lune à l'horizon. En quelques sorte, c'était beau. Tandis qu'elle observait l'horizon, mon regard, à moi, ne se détacha pas de ce petit espace derrière son oreille, là où les cheveux partent en arrière, découvrant une parcelle de peau, et j'avais envie de poser mes lèvres sur ce coin de peau nue. Je ne pensais qu'à ça.
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Calliopée G. Rhodes
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MessageSujet: Re: And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..    And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..  EmptyMar 31 Déc - 12:52




And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ...
Calliopée était loin de se douter de la portée de sa parole mais elle souhaitait juste être avec Gabriel comme avant malgré leur âge qui incitait plus à le faire autrement. Elle l’observa se redressait sur son fauteuil esquivant un léger sourire en coin timide en voyant son air charmeur. A sa question, elle murmura un tout petit oui jusqu’à le voir face à elle, profitant de l’occasion pour se noyer dans les yeux magnifiques du garçon. Quand elle sentit le baiser sur son front, elle ferma les yeux esquissant un sourire heureux sur ses lèvres avant de rouvrir les yeux au contact de la main sur sa joue. Gabriel était visiblement partit dans ses pensées mais elles ne semblaient pas sombres alors Calliopée se contenta de poser sa main sur celle du garçon avec un sourire tendre. Au fond d’elle, elle sentait la tension qui commençait à naître entre eux, mais elle préférait l’ignorer pour le moment au risque d’y succomber sans appel. Quand il retira sa main, elle n’en fut pas peinée le laissant faire avant de pousser un petit cri quand il la saisit.

Elle eut le réflexe de s’accrocher à sa chemise blanche la froissant énormément au passage quand elle se retrouva dans ses bras sans plus aucun contact avec le sol. Un rire franchit ses lèvres quand il lui parla de son royaume à voir en l’appelant blanche-neige. Elle ne quitta pas des yeux le torse visible de Gabriel qui apparaissait en haut grâce aux premiers boutons défaits. Elle avait envie de caresser cette peau mais elle se retint assez longtemps pour se retrouvait devant la baie vitré sans avoir fait quelque chose. Son regard se porta sur l’horizon qui délimitait clairement la nuit noire comme l’ébène et les lumières de Monaco. La lune n’était pas apparente aussi elle ne chercha pas l’astre rond se disant juste qu’au moins personne l’espionnait ce soir. Elle finit par sentir le regard de Gabriel sur elle, un regard d’envie qui faisait monter d’un cran la tension qui avait débuté tout à l’heure. Tout en fixant le dehors, elle chercha à discerner leurs reflets dans la vitre et elle finit par les distinguer. Lui, avec sa chemise blanche maintenant froissée et son jean noir et elle, avec son tee-shirt et sa petite culote puisqu’elle était en train de réfléchir à quel pantalon mettre pour la réception avant de s’écrouler sur le canapé. Elle n’avait pas fait son choix entre le côté confortable ou cadeau dernièrement offert et personne n’avait jugé bon de lui en mettre un pendant son sommeil de plomb.

Doucement, elle dirigea sa main accroché au col du garçon vers la peau laissait nue par l’ouverture de la chemise. Son autre main serrait fortement le tissu derrière l’épaule du garçon et son visage restait tourné fixant leurs reflets plutôt que l’horizon maintenant. Elle ne réfléchissait toujours pas, se laissant porter par ses envies du moment. Et son envie du moment était de toucher la peau légèrement brunie par le soleil de Gabriel. Elle savait que de nombreuses filles l’avaient touchées, elles avaient même été plus loin puisqu’elles l’avaient embrassées même marquée des fois. Mais Calliopée voulait juste la toucher doucement d’une caresse sans violence ou arrières pensées même si la tension était là. Sa main finit par quitter le tissu pour venir caresser la peau comme une brise fraîche. Elle se mordit la lèvre inférieure continuant doucement à errer ainsi sur la peau accessible du garçon d’une caresse douce et légère.

© charney

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Gabriel T. Dunhill
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MessageSujet: Re: And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..    And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..  EmptyVen 3 Jan - 11:17

Face à la baie vitrée, je n'avais toujours pas lâché Calli, et elle se tenait fermement à ma chemise, que j'avais mise pour la réception de ce soir. Dans l'état ou mon amie l'avait mise en s'y cramponnant, il était tout à fait impossible de sortir maintenant. Elle était toute froissée. Mais ceci me fit rire. Je n'avais aucune accroche, alors encore moins lorsque celle-ci était matérielle. Elle semblait perdue dans l'horizon lorsque, je distinguais à mon tour notre reflet dans la vitre. Ses yeux étaient rivés sur moi. Cette fois-ci, la tension était presque palpable. Mais je ne voulais pas céder en premier. Non pas pour une question de fierté, ou tout autre chose. Non c'était simplement par respect pour elle. Je n'osais tout simplement pas la toucher en premier. C'était mon amie, elle était dans un état qui n'était pas celui que je lui connaissais et j'avais le sentiment de profiter d'elle à ce moment là. De profiter de sa faiblesse. Et je ne pouvais tout simplement pas accepter cette pensée. Je restait donc stoïque, la fixant à mon tour dans le reflet. Mon dieu qu'elle était belle. Tellement.. naturelle. Je sentais naître en moi des envies pour elle que je ne pensais inexistante. Seulement.. je ne pouvais plus le nier.

Lorsque je vit dans le reflet sa main agrippée à mon col le quitter, la sentant dériver vers ce petit espace, en haut de mon torse, je ne pus m'empêcher de frissonner. Sa main se fit douce et délicate lorsqu'elle se forgea un chemin jusqu'à ma peau. Un instant, je ferma les yeux, profitant de ce moment de tendresse. Elle vogua ainsi un petit instant, et moi, je ne souhaitais plus qu'une chose. Qu'elle s’arrêta. C'était une trop douce torture pour que je puisse y résister. Je n'avais pas envie de lutter contre ces envies ce soir. Pourtant, je restais planté là, ne sachant quoi lui dire, quoi faire. Et si les autres avaient raison après tout ? Je ne voulais pas leur donner cette chance. Mais ce soir, oui j'avais envie de voir Calli auprès de moi, plus comme une amie. Mais comme une amante.

Alors tout doucement, sans un mot, je lui fit toucher terre de nouveau. elle se retrouva face à moi, sa main toujours posée sur mon torse. Bon dieu que c'était bon de sentir sa main contre moi. C'était une erreur, je le sentais au fond, mais c'était une si douce erreur. De la voir ainsi si fragile, dans une si simple tenue me faisais complètement perdre la tête. Je me sentais con. Vraiment. Tout mon corps lui criais oui, tandis que ma tête me sermonnait plus que jamais. Je pencha légèrement mon regard vers elle, cherchant une sorte d'autorisation, un signe qui aurait fait taire ma conscience. Et c'est dans ses yeux que je la trouvais. Elle elle. Je ne saurais-dire si elle en avait besoin, mais l'envie était là. Tout comme cette tension qui ne quittais pas nos corps. Ma main se retrouva dans ses cheveux sans même que je la remarqua passer sur sa joue, remonter une mèche derrière son oreille. Mes doigts effleurer ce petit espace que mes yeux ne quittais plus un instant plus tôt. Je lui fis basculer un peu plus la tête et mes lèvres vinrent déposer un long baiser sur son cou. Mon autre mai quant à elle vint se loger au creux de sa taille et je me vis l'attirer un peu plus contre moi. Mon baiser se déplaça lentement du haut vers le bas de son cou. Je me perdais dans son odeur, dans sa chaleur. Puis, ma bouche fit marche arrière, cherchant la sienne.

L'attraction était bien trop forte. J'avais envie d'elle. J'oubliais ou nous nous trouvions, j'oubliais qu'elle était Calli. Ma bouche trouva finalement la sienne mais je ne pus trouver la force de l'embrasser. Je me trouvais à quelques millimètres de ses jolies lèvres. Je n'attendais plus qu'elle. Je crois que c'était plus par respect que par conscience que je ne m'autorisa pas ce baiser. Pourtant, bon dieu comme je voulais sentir ce contact.. Je restait donc suspendu, indécis.
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Calliopée G. Rhodes
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MessageSujet: Re: And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..    And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..  EmptyVen 3 Jan - 15:16




And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ...
Calliopée caressait doucement la peau du garçon avec un sourire tendre, elle l’avait sentie frissonner quand elle avait effleuré sa peau la première fois. Et quand il avait fermé les yeux, elle s’était permis un petit sourire en coin face à son attitude, un sourire qui disparu quand elle vit à travers la vitre, le désir du garçon dans ses yeux. Son cœur s’emballa face à ce constat, il la voulait, il la désirait comme amante à ce moment et bizarrement, elle le voulait aussi. Quand elle se retrouva face à lui, son regard vrillait dans le sien et sa main immobile sur son torse, elle eut une sorte de conscience de l’erreur qu’ils allaient faire. Mais une conscience tout au fond d’elle, une conscience bien masquée par son désir d’être à lui pour cette nuit. Elle se fichait des conséquences, elle était prête à commettre cette erreur et il n’y avait pas d’autres alternatives à cet instant pour elle. Elle le voulait contre elle, elle le voulait autour d’elle mais aussi en elle, elle voulait être sienne pour une nuit. Quand elle sentit la main de Gabriel remettre une mèche de ses cheveux en place, elle frissonna en fermant les yeux au contact des doigts du garçon sur la petite partie nue derrière son oreille. Ses yeux se rouvrirent doucement alors qu’il lui arrachait un gémissement en déposant un long baiser sur cette toute petite partie assez sensible. Sa main sur le torse quitta la peau du garçon pour venir rejoindre l’autre dans son dos, elle agrippait la chemise du garçon pour serrer encore plus contre lui. Son nez inspirait l’odeur de son amie devenu amant pour cette nuit, une odeur qu’elle voulait garder pour toujours en mémoire. Elle le laissait descendre dans son cou, frissonnant au contact de ses lèvres expertes qui savaient faire réagir son corps comme il ne l’avait jamais fait.

Quand il remonta doucement en chemin inverse, bifurquant juste pour atteindre ses lèvres plutôt que le derrière de son oreille, elle resserra son étreinte sur la chemise du garçon. Elle ne relâcha la chemise que quand elle vit Gabriel s’arrêter à quelques millimètres de ses lèvres, hésitant à continuer. Calliopée n’aurait surement pas hésité à le repousser si elle n’avait pas été perdue à ce point et que la tension de désir n’avait pas à ce point grandit en eux. Elle en oublia même la douceur rompant la distance entre eux avec avidité pour venir l’embrasser ses mains quittèrent finalement le dos du garçon pour venir l’une derrière sa nuque et l’autre voyager dans ses cheveux. « Je veux t’appartenir, Gabriel. Je le veux… » Calliopée avait interrompus le baiser juste pour lui souffler ses mots, des mots qui en disait long sur l’état avancé de dévastation dans lequel elle était. Elle ne voulait pas arrêter le baiser, elle voulait continuer à se perdre ainsi et surtout ne pas penser aux conséquences. Sans qu’elle s’en rende compte, son baiser devient plus violent et elle en arriva même à griffer la nuque du garçon et lui tirer les cheveux quelques secondes avant de rompre le baiser. Elle l’observait les joues rougis et le regard remplis d’un désir intense qu’elle voulait assouvir avec lui.

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MessageSujet: Re: And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..    And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..  EmptyVen 3 Jan - 18:12

Je sens ses lèvres sur les miennes, je sens ses mains qui parcourent ma nuque, mes cheveux.  Je lui rends son baiser, je sens que ses lèvres me quitte, j'ai envie de lui hurler de continuer, de ne pas les laisser ainsi. J'ouvre de nouveau mes yeux. Je tombe sur les siens. Son regard.. Ce regard. Elle me désirais, je pouvais le lire dans ses yeux qui brillaient maintenant d'une lueur vive. Elle me voulait, certainement autant que je la voulais. Mon corps frémissait sous son étreinte. Mais ce qui me fit perdre pied, ce n'était pas ses baisers. Non, ce fut ces mots, qu'elle souffla au creux de mon oreille, c'était un mélange délicieux d'un appel au secours et d'une sensualité dévastatrice.

« Je veux t’appartenir, Gabriel. Je le veux… »

J'ouvrit d'un coup mes yeux, comme si elle m'avait frappée droit au cœur. Je ne savais pas si c'était parce qu'elle avait utilisé mon prénom, ou bien si c'était de la savoir ainsi s'adonner à moi, soumise et envieuse, mais ces mots me firent comme un électrochoc. De ne pouvoir sentir son corps contre le miens à cause de nos vêtement m'étais devenue, en une fraction de seconde parfaitement insupportable. Tellement insupportable que j'aurai pu lui imposer de se taire. Je ne pris même pas la peine de répondre. Je sentis son étreinte se resserrer, ses ongles se planter dans ma nuque, C'était une inconnue avide de passion qui se trouvait dans mes bras, ce n'était plus Calli. Ces contacts exacerbèrent mes sens, je me perdit de nouveaux sur ses lèvres, dans sa bouche. Ma main sur sa taille se crispa, celle dans ses cheveux vint lui tirer un peu plus encore sa tête en arrière, obligeant nos lèvres à se quitter de nouveau. J'abandonnais celles-ci pour retrouver la douceur de son coup, embrassa chaque parcelle de peau qui s'offrait à ma bouche, à ma langue. Elle avait déclencher quelque chose de sauvage en moi, je redécouvrait ses épaules avec délice, mais il me fallait plus.

Nous nous tenions toujours devant la baie vitrée, s'en était trop pour moi. Ma main quitta ses cheveux, lui laissant de nouveau la liberté de bouger, elle descendit le long de son dos, sa taille, jusqu'au creux de ses reins. Mes deux mains rejoignirent soudain la courbe de ses fesses et je la soulevais de nouveau contre moi, ses jambes vinrent naturellement m'encercler la taille.
Sans la quitter des yeux, je me dirigeais vers la chambre, un peu plus loin. La porte n'était pas fermée, mais avant de la repousser violemment de la pointe du pied, je coinça mon amante d'un soir contre le mur et vint de nouveau lui voler un baiser. Il n'avait plus rien à voir avec le premier que nous échangions quelques minutes auparavant. Celui-ci était sauvage, presque violent.  C'était devenus plus fort que moi, je n'était plus en état de contrôler mon envie pour elle qui grandissait en moi. Je la voulais si fort que le contact contre le mur se montra tout aussi violent que mon baiser.
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Calliopée G. Rhodes
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MessageSujet: Re: And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..    And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..  EmptyVen 3 Jan - 19:40




And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ...
Calliopée bouillait d’un désir intense qu’elle voulait assouvir à tout prix avec lui. Elle sentit la main du garçon se crisper sur sa taille en même temps qu’il tirait ses cheveux de l’autre main. Elle ne résista pas longtemps pour continuer de l’embrasser laissant sa tête allait en arrière pour libérer son cou afin qu’il puisse s’en délecter. Ses mains s’accrochèrent à aux épaules du garçon alors que Gabriel prenait ses aises dans son cou la faisant gémir sans qu’elle puisse espérer s’échapper. Ce n’était pas violent bien au contraire, Gabriel se montrait dans ses baisers que se soit avec ses lèvres ou sa langue laissant ses dents riper un peu sur sa peau. Mais Calliopée bouillait intérieurement d’une passion dévorante et ce contact beaucoup trop faible comparé à ce qu’elle voulait de cette nuit. Cette attente était insoutenable, elle voulait plus, beaucoup plus quitte à ce que cela devienne violent. Elle voulait qu’il relâche ses cheveux et qu’il passe aux choses sérieuses plutôt que de la garder prisonnière devant cette baie vitré pour qu’elle se languisse de la suite.

Quand il lui relâcha les cheveux, elle redescendit la tête pour le fixer lui et non plus le plafond. Cela lui permit de croiser son regard, un regard qui la faisait presque frissonner tellement il était ardent de désir Ce regard lui promettait une suite torride qu’elle attendait. Elle ne profita guère de la liberté qu’il lui avait octroyé durant quelques secondes puisqu’elle fut bientôt soulevée encore une fois. Calliopée passa immédiatement ses jambes autour de la taille du garçon s’accrochant à ses épaules pour ne pas tomber alors qu’il l’entrainait dans la chambre. Elle humait le parfum du garçon se retenant de mordiller le lobe de l’oreille qui était à sa portée pour éviter qu’elle se retrouve à toucher le sol d’un coup sans s’y attendre. Et quand ils franchirent le pas de la porte quelques secondes plus tard, elle découvrit pendant une fraction de seconde la chambre qu’il avait choisie. La sienne, il avait choisit la sienne à elle plongée dans une obscurité presque totale malgré la lampe de chevet qui créait un peu de lumière. Elle s’attendait à ce que Gabriel repousse la porte du pied et la laisse tomber sur le lit mais ce ne fut pas le cas. Elle se retrouva contre le mur dans un choc violent qui lui arracha un cri rapidement éteint par un baiser tout aussi violent de Gabriel. Calliopée ne pouvait pas s’échapper de l’emprise du garçon qui en profitait avec ardeur. Elle sentait les mains de Gabriel se baladait sur ses fesses, il le faisait avec une telle passion que sa culote risquait de finir en lambeau à ce rythme. Mais ce n’était pas seulement ça qui lui donnait envie de se dégager du baiser pour réussir à lâche un simple cri. Non, il y avait aussi la manière dont Gabriel la repoussait de plus en plus contre le mur, la maintenant contre ce pan tout droit et venant même jusqu’à l’écraser contre. Finalement ce furent ses mains qui lui offrirent la libération qu’elle attendait puisqu’elle déchira la chemise du garçon dans le dos. Le bruit du tissu lui offrit une diversion qui lui permit de dégager ses lèvres qui lâchèrent le cri coincé au fond de gorge. « Fais-moi tienne… » Calliopée avait lâché ses mots dans le vide alors qu’elle reprenait son souffle difficilement. Mais si ses paroles lui demandaient d’assouvir son désir maintenant, ses yeux et son corps lui demandaient clairement de la soumettre à lui avant. Tout son être lui criait de la forcer à le supplier, de lui offrir une fois qu’elle n’aurait plus jamais, d’une fois où elle serait complètement soumise à son compagnon qui la dominerait. Elle voulait qu’il la contraigne à se languir, qu’il lui fasse mal s’il le fallait. La tendresse n’était plus à l’ordre du jour dans sa tête, il avait laissé place à de la pure violence.

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Gabriel T. Dunhill
Gabriel T. Dunhill

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MessageSujet: Re: And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..    And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..  EmptyVen 3 Jan - 21:43

C'était la première fois que je ressentais une telle envie pour une fille. Je faisais violence à mon corps pour me controler, ne pas pousser Calli sur des horizons qu'elle ne connaissait surement pas, et qu'elle ne souhaitait pas découvrir. Moi, j'y avait goûté, maintes fois. Mais c'était il y avait bien longtemps maintenant. Mais depuis, jamais je n'avais ressentit ce besoin de m'y... replonger. Car c'était bel et bien le terme qui définissais le mieux la situation dans ma tête. Les pensées s'entremêlaient dans un fracas, allaient et venaient dans mon crane. Je m'en serai cogné la tête contre les murs. Ressaisit toi, respire, arrête. Arrêtes. C'est alors que Calli choisit ce moment inattention pour déchirer violemment ma chemise. Je sentis une violente rage m'envahir. J'en avais absolument rien à foutre de cette chemise. Mais cet élan de puissance, c'était à moi d'en faire preuve. A moi seul. Pas à elle. C'est elle qui m'avait demandé de la faire mienne. Et voila qu'elle prenait le dessus. Elle souffla dans un halètement encore quelques mots que je ne compris même pas sur l'instant. Puis ils prirent leurs sens, alors que mes mains avaient arrachées à leur tour son t-shirt.

Elle se retrouva presque nue, ne lui restait plus que sa culotte comme seul tissus face à moi, alors que je le coinçais toujours contre ce mur, dur et froid. Je découvris une poitrine absolument parfaite, n'attendant que mes mains ou ma bouche pour exploser. Au lieu de ça, ayant pris ses derniers gémissements pour que je la prenne comme un défis, je n'en fis rien. Je plongeais de nouveau mon regard dans le sien. Ce n'était plus moi qui regardais cette fille se tenant à ma merci à ces quelques centimètre de moi. J'avais l'avantage, et en aucun cas je ne comptais le lui donner. Elle voulait m'appartenir pour la nuit, elle me voulait en elle. Tout son corps se courbait vers moi. Elle n'attendais plus que ça. Et bien non. Que le jeu commence. Une lueur vive et quelque peu effrayante traversa mes yeux et sans même prévenir, je détacher ses deux jambes qui agripper à ma taille comme à un rocher en pleine mer et la remis debout, toujours coincée entre le mur et mon corps.

- Tu sera mienne quand je l'aurais décidé.

Mon ton était froid, voir glacial avec elle. Mais elle l'avait cherché. Je ne pensais même plus aux conséquences de mes actes, j'étais redevenue celui que j'étais auparavant. La même salaud, mon mauvais côté. Nous avions tous un mauvais côté après tout. Et j'allais faire découvrir à Calli le sien. Il n'était plus temps de faire machine arrière. Ne supportant plus son regard avide de plaisir avec lequel elle me scrutait, chancelante et assoiffée de désir, je la retourna face au mur, de ce fait elle se trouvais aussi dos à moi. L'un de mes bras vint encercler ses épaules et ma main vint découvrir la pureté de sa poitrine, l'autre main descendit lentement, sillonnant sur son ventre, apprenant la courbe de ses hanches, dessinant le tour de son nombril puis disparue sous le dernier morceau de tissu qui lui restait. Je la découvrit pleinement de mes doigts agiles et experts en la matière, la sentant humide de plaisir. Ses gémissements et son souffle s'accélérant me poussait à continuer avec encore plus d'ardeur. Dans cette position, elle était tout à fait à ma merci. Les bras bloqués contre mon torse et emprisonné par mon bras, face au mur. Pauvre petite biche apeurée songeais-je.. Tu ne sais pas à qui tu tourne le dos..
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Calliopée G. Rhodes
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MessageSujet: Re: And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..    And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..  EmptyVen 3 Jan - 22:19




And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ...
Calliopée était loin de se douter qu’elle était en train de réveiller un monstre qui ne la contenterait pas comme ça. Mais elle commença à le comprendre quand elle vit Gabriel déchirer son tee-shirt en réponse à la déchirure qu’elle avait causé sur sa chemise. Elle avait fait preuve d’un élan de puissance qui avait déplu au garçon, un garçon qui allait le lui faire payer. Elle l’observa dans les yeux alors que son tee-shirt tombait en lambeau au sol ne lui laissant plus que sa petite culotte comme rempart alors qu’il était toujours habillé lui. Elle vit une lueur inquiétante traversait le regard de son ami mais cela ne fit qu’augmenter son désir pour lui même si elle sentait qu’elle allait payer très cher d’avoir osé montrer un peu de puissance face à lui. Et la réponse arriva bientôt puis qu’il lui décrocha les jambes de sa taille la remettant debout avant de lâcher les mots fatidiques. Le ton froid et glacial de garçon l’empêcha de répliquer comprenant qu’elle avait plus à perdre si elle le faisait. Et puis, elle n’eut pas vraiment le temps de rétorquer quelque chose puisqu’elle se retrouva d’un coup dos à lui sans qu’elle sache vraiment comment. Puis elle sentit un bras de Gabriel venir entourer ses épaules décollant légèrement le haut de son corps du mur pour que cette main puisse venir s’en prendre à sa poitrine. L’autre main venait quant elle dessinait son ventre et ses hanches avant de s’introduire sous le tissus de sa culotte et errer un peu près de l’intimité que le tissus cachait. Calliopée ne pouvait pas échapper à l’assaut de Gabriel, elle ne pouvait que subir emprisonnée dans les bras du garçon qui ne faiblissait pas mais augmentait l’intensité au contraire. Le pire était surement la position inconfortable dans laquelle elle se trouvait, ses bras s’étaient retrouvés bloqués dans son dos et contre le torse du garçon plus précisément la chemise de celui-ci. Calliopée n’avait aucune marge de manœuvres pour faire cesser cette torture qui lui arrachait des gémissements de plus en plus forts alors que son souffle s’accélérait. Le contraste entre le mur froid et le corps derrière elle ainsi que l’encerclant, la saisissait et la rendait encore plus disposée au garçon.

Elle tremblait et elle ne souhaitait plus qu’une chose qu’il en finisse, qu’il la prenne, qu’il assouvisse son désir. « Gabriel... » Ce prénom franchit ses lèvres sans qu’elle s’en rende compte, elle le voulait en elle, maintenant. Ses mains se saisirent d’un coup sur la ceinture du garçon alors qu’il continuait inlassablement son jeu pervers sur elle. Ses mains tremblantes réussirent sans qu’elle sache comment à défaire la ceinture mais dans l’état où elle était face aux assauts, elle n’était pas spécialement discrète. Et le garçon se rendit compte de ce qu’elle avait fait. Ce n’est qu’à ce moment où il comprit ce qu’elle avait fait, qu’elle comprit qu’en s’accrochant à cette ceinture et la défaisant ainsi, elle avait fait encore fait un acte de puissance face à lui. Un acte qu’il n’apprécierait surement pas et qu’elle allait payer amèrement.

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Gabriel T. Dunhill
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MessageSujet: Re: And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..    And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..  EmptyVen 3 Jan - 22:46

Alors que je faisais voguer mes doigts dans les recoins les plus intimes de Calli, ma tête plongé dans son cou, harcelant sa nuque, ses épaules et son dos de baiser, se laissant aller à la mordiller plus franchement lorsque j'arrivais au niveau de la chute de ses épaules, je sentit ses mains se frayer un chemin au niveau de ma ceinture. Sans que je ne sache exactement comment, celle-ci fut détachée. C'est qu'elle était habile ma petite Calli. Mais c'est que c'était un affront de plus. Je vint mordiller son oreille et lui chuchoter sur un ton toujours aussi ferme et presque intimidant :

- Mais tu n'as donc pas compris ? ...

Elle sussura mon prénom dans un souffle, je la sentais presque trop prête à m'accueillir en elle, et cela me déplus presque. Bien évidemment, mon corps n'était pas loin de l'extase non plus, mais j'avais des années d'expériences et me contenir était mon jeu favoris. Il était hors de question que ce moment se termine déjà. Et il était hors de question qu'elle prenne ainsi mon corps pour acquis. Je n'était pas encore pret à me donner à elle. Et plus elle se ferai pressante, plus je prendrais mon temps. Ma bouche se rapprocha de nouveau de son oreille, y déposa quelques baisers un peu plus doux

- Elle te plais ma ceinture alors ? Dis moi encore une seule fois ce que j'ai à faire ou prends encore une seule fois une initiative sans y avoir était conviée, et je peux t'assurer que cette ceinture te marquera.

C'était cru, osé et presque malsain. Mais c'était de sa faute à elle ! C'était elle qui m'avait mis dans cet état, elle qui me suppliait encore et encore alors que je voulait pas l'entendre. Pour qui se prenait-elle. Et puis, elle avait l'air d'apprécier cet excès d'autorité dde ma part. Je n'allais donc pas m'en priver. C'était moi qui menait la danse, et c'est ce que je faisais de mieux. Ma main quitta sa culotte vivement, mon bras la laissa récupérer l'usage de son corps en la délivrant de l'étreinte. Mais ce fut uniquement pour un instant.  le temps d'enlever ma chemise, de la déchirer réellement en lambeau. Elle se tenait face à moi maintenant, elle avait due en profiter pour se retourner, toujours en culotte, les joues rosit par le plaisir et le désir, tremblante. A ce moment je me sentis tellement supérieur, mais il fallait que je garde mon calme, que je ne m'emballe pas. Mes yeux allèrent alternativement entre le lambeau de ma chemise et elle, attendant tout de même de voir sa réaction. Et puis, par la même occasion, ça lui laissait un répis.

Elle me fixa droit dans les yeux et ceci eu pour conséquence de relancer ma rage et mon envie.J'aurais même juré voir un sourire malicieux se dessiner aux coins des lèvres de Calioppée. Je m'avança vers elle et lui attrapa les poignets et d'une main habile les lui noua avec le lambeau. Je lui montrais le lit du doigt, sans même la regarder puisqu'il enleva ma ceinture d'un coup vif ce qui la ffit claquer quelques peu. Que ce son était doux à mes oreilles...

-Sur le ventre.

Je releva le regards vers elle qui s'était dirigée illico vers le lit et la vit prendre place docilement comme je le lui avait demandé. C'était elle qui avait brisé le silence en premier, mais maintenant, on entendais plus que ma voix dans la semi pénombre qui régnait dans la chambre.
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Calliopée G. Rhodes
Calliopée G. Rhodes
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MessageSujet: Re: And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..    And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ..  EmptyVen 3 Jan - 23:33




And when the rain Beats against my window pane, I think of summer days again ...
Calliopée savait à la minute même où elle avait sentit la ceinture se détachait qu’elle allait le regretter et cela ne manqua pas. Gabriel qui mordillait encore une fois avec violence la chute d’une de ses épaules remonta vers son oreille sans la toucher jusqu’au mordillement et aux paroles fermes qui lui arrachèrent un frisson d’effroi. Elle ne réussit pas à lui répondre pour autant complètement sous le joug des mains du garçon qui ne reçu que pour toute réponse son prénom à voix basse. Elle sentit Gabriel revenir vers son oreille pour y déposer quelques baisers doux avant d’entendre les paroles crues et malsaines qui lui lâcha posément à l’oreille. Ses paroles furent accompagnées d’un pincement d’un de ses tétons déjà bien dure et d’une caresse un peu plus osée au sein de sa culotte qui lui arrachèrent un cri remplis de désir et non de peur. Et d’un coup, il se retira lui permettant de retrouver une liberté qui lui manquait. Elle se retourna tremblante pour observer ce qu’il faisait, son tortionnaire de la nuit, récupérant peu à peu de ses émotions. Elle le vit déchirer en lambeau sa chemise alors que ses bras se remettaient doucement du traitement qu’ils venaient de subir pris entre leurs deux corps. Elle ne quittait pas des yeux le garçon, le fixant même dans les yeux ce qui sembla lui déplaire.

Calliopée frémit en sentant la poigne de Gabriel se saisir de ses poignets et les entourer du lambeau du tissu pour les nouer ensembles. Elle détourna les yeux alors qu’il serrait les liens encore plus forts lui arrachant un cri de douleur. Elle observa le doigt du garçon se pointer sur le lit sans qu’il lui accorde un regard enlevant sa ceinture d’un coup vif la faisant claquer d’un son qui la fit frissonner. Les paroles qu’il avait prononcées avant lui revinrent en mémoire, il allait la marquer avec sa ceinture en fouet. Aussi, quand il lui ordonna d’être sur le ventre sur le lit, elle n’hésita pas une seconde se dirigeant vers cet endroit de sommeil. Elle s’allongea le plus rapidement qu’elle put tremblante d’un désir non éteint malgré le fait qu’elle allait clairement souffrir. C’est ainsi que vêtue d’une seule petite culotte, elle se retrouva les bras au-dessus de sa tête lié par le lambeau de chemise, la tête posée sur le côté pour pouvoir respirer et complètement à la merci du sadique au pied du lit. Et l’attente commença, une attente dans un silence total Gabriel trouvant le moyen de se déplacer silencieusement jusqu’à sa portée. Elle ne le voyait pas non plus dans la semi-pénombre tandis que son cœur tambourinait dans sa poitrine au rythme de son désir qui stagnait. Puis, le bruit d’un claquement sourd déchira le silence arrachant un cri à Calliopée. Elle avait sentit le cuir mordre sa chair d’une manière brutale sans qu’elle puisse rien faire. Cette première morsure lui coupa le souffle et ses mains se mirent à se débattre pour se débarrasser du tissu qui les entravait. La jeune fille ne savait pas si ce mouvement visant à se défaire de son emprisonnement déplairait ou non au garçon mais aussi étrange que cela puisse paraître, elle n’avait rien contre l’idée de lui déplaire. Plus il se montrait violent avec elle, plus son désir augmentait en elle la rendant beaucoup plus propice à tout ce qu’il voulait faire d’elle.

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