Lors de mon cours d'économie je fus estomaqué par le message qui se trouvait à l'endos de ma copie, en effet ma professeur m'avait demandé de bien vouloir rester prétextant un besoin – plutôt – pressant de me dire quelques mots. Étant que peu confiant en mes moyens je ne pouvais que me demander ce qu'elle pouvait bien me vouloir. Le verdict tomba alors qu'elle me proposa, après s'être assurée que nous soyons seuls, de passer chez elle vers 19 heures afin de discuter de mes projets d'avenir tout en mangeant une pizza … c'était une charmante attention de sa part. Évidemment je me doutais bien que cela n'était pas très indiqué qu'un étudiant et une professeur se voient à l'extérieur du contexte académique mais bon il ne fallait pas voir du mal là ou il n'y en avait pas non plus.

Néanmoins je ne pouvais que me faire des films, il faut dire qu'Eva avait une façon de me regarder et de glisser ses doigts contre ma peau qui était de nature à me désorienter et me troubler. Elle devait bien être la seule personne à m'accorder un semblant d'attention donc d'une certaine façon je ne pouvais qu'être touché d'autant plus qu'elle possède un charme fou … ce qui n'était pas étranger au fait que mon esprit semblait s'égarer.

Vêtu d'un jeans, d'une chemise, et de mon veston je quittai mon appartement pour ensuite prendre place derrière le volant de ma voiture histoire de me rendre à destination. Arrivé sur place je du regarder deux fois l'adresse qu'elle m'avait donnée car je n'arrivais pas à concevoir qu'elle habite une résidence qui n'a rien à envier au palais de Buckingham. Passant le portail je me stationnai et, bravant la pluie torrentielle qui sévissait, je me mis à me diriger vers la porte au pas de course afin d'y frapper.

Ce regard quasi méprisant que les autres étudiants – les gros biceps sans cervelles – posaient sur moi étaient de nature à me glacer le sang je pouvais les entendre penser et saliver à l'idée que je me fasse réprimander par Eva c'est sûrement ce qui expliquait ces regards à la fois narquois et condescendants qu'ils posaient sur moi à la fin du cours alors qu'ils quittaient la classe et que je m'approchais du bureau de la jolie professeure. S'ils avaient assisté à notre petit moment ils en auraient eu des nausées tellement le tout n'allaient pas dans le sens qu'ils avaient escompté. La belle brune me troublait et de toute évidence elle prenait plaisir à en jouer. Parlant de tout et de rien elle glissa sa main contre ma joue, glissant ensuite sa main dans mes cheveux, avant de déposer tendrement ses lèvres contre ma joue effleurant ma bouche de ses lèvres. J'en avais le souffle coupé, je ne savais plus trop quoi penser et c'est alors qu'elle me proposa de venir la rejoindre chez elle ce soir afin que nous puissions discuter loin des regards indiscrets. Évidemment je n'étais pas sans me poser certaines questions mais , étant d'avis que je pensais trop, je décidai d'accepter sa proposition après tout Eva était si séduisante que lui opposer une fin de non recevoir ne m'avait pas effleuré l'esprit.

Quittant la classe en premier, afin de ne pas éveiller le moindre soupçon, j'entrepris donc de me rendre chez moi et de prendre une douche afin de me préparer adéquatement car lorsque vous étiez attendu par une femme telle que Evail allait de soit de vous présenter sous votre meilleur jour. Vêtu de ce que je pouvais avoir de plus beau je quittai donc mon appartement au volant de ma voiture et arrivé à destination je finis par me stationner. La pluie sévissait depuis déjà un bon moment mais plutôt que de se calmer elle semblait vouloir gagner en ampleur mais puisque je n'aimais pas arriver en retard je me décidai à la braver. Je sortis donc de la voiture afin de me rendre sur le porche de la résidence au pas de course et c'est alors qu'une personne m'ouvrit et m'invita à passer au salon me disant que mon hôte ne tarderait pas à venir me rejoindre. J'étais hésitant je n'osais pas trop avancer et c'est alors que je vis Eva s'approcher après qu'elle eut taper des mains afin de faire comprendre à sa domestique qu'elle allait prendre le relais.

J'ai manqué de prévoyance, j'aurais du prendre un parapluie. Lui dis-je alors qu'elle me retira mon veston et qu'elle me détacha le premier bouton de ma chemise glissant tout en douceur ses mains contre mon torse. Il vaut mieux en effet sinon je risque de choper un vilain rhume. Lui dis-je alors qu'elle approcha ses lèvres de mon oreille afin de me dire que j'étais beau et sexy … je ne pouvais qu'être touché par de tels mots de sa part. Ne voulant pas demeurer en reste je l'embrassa sur la joue – un peu comme un jeune homme le ferait à l'endroit de sa tante – et je lui murmurai que sa tenue lui allait à ravir. Merci c'est gentil. Lui dis-je tout en la regardant , ressentant une envie folle, alors qu'elle me déboutonna entièrement ma chemise glissant même sa main contre ce qu'elle désirait. Je fais aussi vite que possible. Ou est la salle de bain?

J'étais quelqu'un de prude je ne comptais pas me dévêtir devant une inconnue – aussi sexy soit-elle – je lui souris timidement alors qu'elle me désigna la salle de bain et je m'y dirigeai avec le peignoir. Je me fixai dans la glace pendant un moment, me sentant pour le moins hésitant, et puis je finis par me résoudre à me dévêtir – ne gardant que mon slip – pour ensuite enfiler le peignoir en question. Sortant de la salle de bain je remis mes vêtements à la domestique afin qu'elle puisse les faire sécher et je m'approchai de Eva, qui me faisait de grands signes, et je m'installai près d'elle à proximité du foyer dans lequel le feu avait commencé à crépiter.

Bravant la pluie je m'étais dépêché de me diriger sur le porche de sa résidence afin de poser le doigt sur la sonnette histoire de manifester ma présence. Le corps détrempé j'attendis que l'on vienne m'ouvrir alors que j'étais là grelotté frigorifié par cette pluie qui avait eu tôt fait de me détremper jusqu'aux os. Bien que je n'attendis pas longtemps je dois admettre que le tout me paru une éternité, j'étais à deux doigts de l'hypothermie si bien que je commençais même à en claquer des dents.  Suite à l'invitation de la personne qui m'avait ouvert je fis mon entrée et c'est alors que Eva, belle et exquise comme toujours, fit son entrée alors qu'elle descendait les escaliers. Son regard et ses courbes , pour le moins incendiaires, ne pouvait que m'en mettre plein la vue et s'approchant de moi elle se montra si douce, si gentille, si amicale que je ne su résister à la folle tentation de l'embrasser sur la joue … après ce geste n'avait rien d'inconvenant.  À ma surprise elle entreprit de me défaire les boutons de ma chemise, tout en glissant ses mains contre mon torse attrapant même un autre truc au passage, je dois l'avouer je n'étais pas habitué à ce genre de traitement même qu'il pouvait être de nature à me rendre mal à l'aise mais allez savoir pourquoi je ne parvenais pas à trouver la force d'exprimer le moindre mot … un peu comme si elle m'avait envoûté et que rien ni personne ne pouvait faire en sorte de m'aider à venir à bout de ce sortilège.

En effet les éléments se sont déchaînés subitement. Lui dis-je prenant ce peignoir qu'elle me tendait. C'est gentil, peu de gens se soucie à ce point de moi. Ne me trouvant qu'à quelques centimètres d'elle je ne pouvais que me délecter de son regard des plus charmeurs alors qu'elle se mordillait la lèvre et que son parfum n'avait de cesse d'attiser et de titiller mon odorat. C'est gentil mais je vais rougir devant tant de compliments. Lui rétorquais-je timidement alors que je continuais de la regarder , ne demeurant pas insensible à son clin d'oeil et me dirigeant vers la salle de bain tel qu'elle me l'avait désignée alors que son employée referma le porte après , au préalable, m'avoir agrippé les fesses. J'étais gêné, je n'osais pas trop parler après tout je ne voulais pas qu'elle perde son emploi mais j'étais tout de même mal à l'aise.

Évidemment je ne pouvais que garder à l'esprit ce qui venait de se passer, juste avant que j'entre dans cette pièce, jamais je ne m'étais fait touché de cette façon et bien évidemment j'étais effrayé … la façon dont elle m'avait regardée tout en me tripotant ne pouvait que me faire froid dans le dos. J'étais tout chamboulé même que j'en étais venu à verser quelques larmes mais je finis par les sécher ,j'allais devoir me montrer fort afin d'éviter que le tout dégénère. Je finis donc par retirer mes fringues pour ensuite enfiler le peignoir. Quittant la salle de bain je remis mes vêtements à la domestique et rapidement je me dirigeai vers Eva afin de fuir le regard de celle qui n'était pas sans me terroriser. M'approchant de la belle brune je la vis me faisant signe d'approcher et je finis par m'installer d'elle. Cette façon qu'elle avait de glisser sa main contre ma joue , ainsi que l'autre contre mon torse, ne pouvait que m'enchanter et me faire frissonner … j'adorais grave si bien que je ne portai pas attention au bas du peignoir qui se releva et permis à cet ecchymose ornant le haut de ma cuisse droit de devenir visible.

Merci c'est gentil. Étant captif de son regard je ne parvins pas à m'en libérer. Je suis persuadé que tout sera parfait et je me languis déjà d'entendre ce que vous avez à me proposer. Je venais d'un milieu tellement aristocratique que vouvoyez les gens en autorité était normal, j'aurais eu l'impression d'être irrespectueux en agissant autrement.

Le simple fait de la voir tenir sa part de pizza afin de l'approcher de sa bouche ne pouvait qu'éveiller mon imaginaire, alors que plusieurs images plutôt perverses et inavouables me vinrent à l'esprit, et puis je la vis glisser son index tout contre ses lèvres afin retirer le surplus de sauce  se glissant subtilement l'index en bouche tout en me lançant un regard sans le moindre équivoque, elle me troublait.  Prenant une part de pizza je tentai d'en prendre une bouchée et c'est alors que la belle se rapprocha de moi, glissant son index tout contre mes lèvres, et me murmurant dans le creux de l'oreille qu'elle désirait en voir plus de moi , beaucoup plus selon ce que j'avais pu comprendre, mon regard se noyant de plus en plus dans le sien je la vis se rapprocher de moi tout en douceur alors que ses lèvres ne se trouvaient qu'à quelques millimètres des miennes et que je pouvais sentir son souffle me réchauffer la peau et l'inévitable finit par se produire alors qu'elle glissa ses lèvres parfaitement glossées afin de m'offrir le plus doux et le plus tendre des baisers qui soit. Conquis par la belle je me surpris à profiter et même à lui retourner la pareille lui murmurant ensuite dans le creux de l'oreille qu'elle n'avait pas idée à quel point je pouvais la trouver belle.

Son accueil avait été des plus chaleureux et je n'avais que le laisser attendrir par cette façon des plus charmante qu'elle avait de se comporter envers moi. Cette façon qu'elle avait de déboutonner ma chemise , de caresser mon torse d'une main alors qu'elle glissait l'autre plus bas afin d'attraper l'objet de son désir n'avait pas été sans me troubler … n'étant pas trop habituer à ce genre de choses je ne savais pas trop comment je me devais de réagir et puis comme si cela n'était pas suffisant elle me fit ce clin d'oeil des plus sexy qui me déstabilisa totalement.

Je ne pus que lui adresser mon plus charmant sourire lorsqu'elle me dit que l'important était que je sois en sécurité et au chaud, j'étais touché par tant d'attention de sa part. Je ne sais pas si je mérites toutes ces douces et divines attentions de votre part mais je ne peux qu'en être plus que touché. Je lui souris déstabilisé par son regard. Alors je vais devenir une tomate sur deux jambes.

Je me dirigeai en direction de la salle de bain qu'elle m'avait désignée au préalable, le peignoir sous le bras, alors que mon regard ne semblait pas vouloir se détacher du sien et puis – alors que je m'apprêtai à pousser la porte – je sentis une main m'agripper fermement les fesses et c'est en me retournant que je remarquai qu'il s'agissait de la domestique … son regard aussi suave que coquin ne pouvait pas tromper. Paniqué je me réfugiai dans la salle de bain, versant quelques larmes tellement je pouvais être effrayé de finir dans les griffes de cette vilaine femme, et je finis par me dévêtir , enfilant le peignoir, avant de sortir de la salle de bain et de remettre mes fringues à la dame avant de la fuir afin de rejoindre Eva. Arrivé tout près d'elle je ne pus que frissonner au contact de sa main contre ma joue alors que de l'autre elle parcourait mon torse, déjà je pouvais ressentir un désir d'enfer surgir des profondeurs de mon être.

Cette façon qu'elle avait de laisser ses doigts me parcourir tout en me dévorant du regard, je ne pouvais qu'en redemander. Jamais on ne me l'a dit avec autant d'éloquence. Je la vis attraper la pizza et c'est alors qu'elle entreprit de mettre les choses au clair. D'accord, comme vous voulez … euh … comme tu veux. Il faut dire qu'il m'était difficile de gérer les deux volets de notre relation … à l'université elle était ma prof donc il m'était difficile de faire la nuance entre notre relation prof-élève et celle que nous étions entrain de développer qui se voulait beaucoup plus personnelle.

La voir ainsi s'emparer de sa part de pizza pour ensuite la porter à ses lèvres , la mordant à pleines dents, pour ensuite la voir passer son doigts afin d'essuyer le surplus de sauce contre ses lèvres et se léchant le doigt afin de m'offrir un prélude à ce qu'elle me réservait ne pouvait qu'être un pur délice pour les yeux. Elle était belle comme le jour et aussi mystérieuse que la nuit, elle me troublait et m’envoûtait, je pris ma part de pizza fin d'en prendre une bouchée et ma maladresse se vit trahie par ce soupçon de sauce contre le coin de ma bouche … furtivement la belle se rapprocha de moi, glissant son index tout contre mes lèvres afin de m'essuyer. Son regard , tout aussi charmeur que pervers, ne put que me méduser et je m'abandonnai à elle alors qu'elle glissa tendrement ses lèvres contre les miennes m'embrassant comme jamais je ne l'avais été. Elle me faisait un effet d'enfer à un point tel que je n'avais pu que prolonger son tendre baiser, frissonnant sous la douceur de sa main parcourant ma cuisse … mon regard se plongeant dans le sien alors qu'elle vit mon ecchymose et m'abandonnant à la douceur de sa caresse je ne pus que laisser ma main remonter contre ses cheveux au gré de ses baisers dans le creux de mon cou.

Tu sais j'ai l'habitude maintenant de me faire cogner. Tu fais rien on te tape, t'ouvres ta gueule on te tape … c'est le grand paradoxe de mon existence mais ta sollicitude me touche énormément. Ses lèvres glissant tout près des miennes ne pouvait que me mettre en appétit et je ne pus que frissonner en sentant sa main tout contre mon torse alors qu'elle me défit mon peignoir me couvrant le torse de moult baisers tout en remontant contre moi en me faisant son regard des plus enjôleur. J'en serais plus que ravi, c'est une proposition qui me touche. Une chérie comme toi c'est le rêve après tout. Cependant ne serait-il pas dangereux pour toi que l'université apprenne que tu habites avec un de tes étudiants? On pourrait commencer par passer les week ends ensemble et on verra ensuite. Ça te vas? Le dernier de mes souhaits est de t'attirer des ennuis. J'étais naif, j'étais si charmé par la belle que je ne me posais pas la moindre question sur ses motivations pourtant pleins de gens racontait qu'elle couchait pour le fric , j'étais si aveuglé par mon désir à son endroit que je me refusais de croire qu'elle s'intéressait à moi pour le prestige de la famille. Je dois avouer que c'est une proposition des plus tentante, j'ai bien envie de l'accepter. T'es tellement belle. Elle semblait être en mesure de lire en moi comme dans un livre ouvert. Je dois admettre qu'il ne se passe pas un seul instant sans que je ne pense à toi. Oh non je ne voudrais pas te fâcher … jamais de la vie.

Complètement subjugué par son regard , des plus envoûtant, je m'abandonnai à elle me laissant faire alors qu'elle entreprit de me retirer mon peignoir. Je ressentis une certaine crainte lorsqu'elle m'empoigna par le cou et puis je me sentis des plus apaisé lorsqu'elle s'empara de mes lèvres afin de m'embrasser d'une passion des plus folles. Ses caresses contre mon torse , des plus vigoureuses, ainsi que sa manière de me griffer le torse n'avait pu que me procurer un frisson des plus intense et puis la douce sensation de langue remontant tout contre les marques qu'elle venait de laisser n'avait pus que me faire frémir de désir. Gémissant au gré de ses douces attentions je ne remarquai pas ce regard plus qu'assassin qu'elle échangea avec sa domestique. Mon regard se noyant dans le sien je me laissai faire alors qu'elle prit mes mains afin de les guider contre son corps je ne pus que sourire à l'écho de ses doux murmures … l'embrassant sur l'épaule alors que je fis lentement glisser une des bretelles de son haut dévoilant une partie de sa généreuse poitrine.

Détrempé par cette pluie diluvienne qui s'était mise à déferler je m'étais dépêché de me diriger vers la porte d'entrée de la résidence de la douce et divine Eva afin de faire savoir que j'étais arrivé. Aussitôt avais-je franchi le pas de la porte je la vis s'approcher de moi, me faisant grâce de son regard des plus charmeur, alors qu'elle fit comprendre à sa domestique qu'elle pouvait désormais nous laisser puisqu'elle allait prendre le relais. Captif de son regard je ne pouvais que frissonner au gré de ses mains glissant tout contre mon torse et que dire de cette douce sensation qui s'empara de tout mon être alors que je sentis sa main me procurer une caresse des plus coquine face à laquelle il m'était impossible de demeurer impassible. Complètement subjugué par la belle brune je ne savais pas trop comment réagir , il faut dire que j'étais démuni face à ce genre de situations.

Difficile de ne pas sourire lorsque je suis en votre compagnie, je me sens si choyé. Je me sentais si bien, je ne parvenais pas à croire qu'une telle femme pouvait autant m'apprécier. Je vais rougir si vous continuez.

Muni du peignoir je m'étais dirigé vers la salle de bain que la magnifique Eva m'avait assignée, ressentant un profond et malsain malaise , en regard des agissements de la domestique, je ne mis que bien peu de temps afin de rejoindre Eva prenant place auprès d'elle tout en frissonnant sous la douceur de ses caresses contre ma joue et mon torse.

Ses doigts glissant , avec sensualité, tout contre ma peau ne pouvait que me faire frissonner et que dire de ce regard – à la fois tendre, envoûtant et pervers – auquel je ne parvenais pas à opposer la moindre volonté de résistance … j'étais sous le charme de mon enseignante, si bien que je me surprenais à ressentir un désir inavouable à son endroit.

C'est que tu le mérites amplement. Je n'arrive pas à réaliser qu'une femme telle que toi s'intéresse à quelqu'un comme moi. Frissonnant sous la douceur de sa main arpentant ma joue, je ne pus que me laisser dévorer par son regard. J'en suis persuadé.

Je le regardai s'emparer de sa part de pizza afin d'y mordre à pleine dents et je ne pus que ressentir un désir des plus insoutenable lorsque je la vis s'essuyer les lèvres à l'aide de son index avant de se le mettre en bouche. Et puis comme si elle cherchait tout simplement à m'achever je la vis s'approcher de moi m'essuyant les lèvres à l'aide de son index – après que j'eus mordu dans ma part de pizza - me lançant un regard plus que pervers et s'emparant de mes lèvres – en douceur – histoire de me procurer le plus délicieux des baisers … baisers que je ne pus que prolonger. Sa main remontant dangereusement le long de ma cuisse n'était pas étrangère à ce doux frisson qui me parcourait et puis je fermai les yeux – tout en me mordillant la lèvre – au doux contact de ses lèvres s'emparant de mon cou … elle m'achevait.

Me sentant parfaitement en confiance je finis par échapper le morceau, lui expliquant les raisons justifiant mon ecchymose, et c'est alors que je sentis ses mains glisser tout contre mon torse – défaisant mon peignoir – alors qu'elle s'empara de mes lèvres … ce moment j'en avais si souvent rêvé que je ne parvenais pas à croire qu'il était sur le point de se concrétiser.

Personne ne mérite de prendre des nions mais c'est la vie, certains ont plus de substances dans leurs muscles qu'entre leurs deux oreilles. Je ne pus que frissonner au gré de ses caresses alors que je tentais néanmoins de me la jouer philosophe. Tant de gentillesse de ta part ne peut que me toucher, je suis ému. La douceur de son index glissant tout contre mes lèvres ne pouvait que m'inspirer. Le bonheur c'est tout simplement de me trouver près de toi. Glissant mes bras autour de sa taille, je me laissai aller a lui voler un tendre baiser. Je compte bien continuer à ton faire rêver ma belle brune. Ce sourire d'ange j'en étais devenu accro. Il n'y a qu'au près de toi que ma vie me semble si harmonieuse. J'étais sous son charme, il était maintenant trop tard j'étais sa chose. Je suis ravi que mon compromis te convienne. Bien sur que j'aimerais être encore plus avec toi mon ange tu le sais parfaitement. Je tentais de me montrer raisonnable mais elle me tentait tellement. Tu es si belle, si désirable, que je ne peux que désirer passer du temps avec toi ...ta proposition tombe donc à point nommé. Ses ongles glissant contre mon torse je m'étais laissé aller à lui caresser les cheveux. Tu m'attires à un tel point que les mots me manquent. Je ne peux que m'abandonner à toi, tes désirs étant pour moi des ordres.

Je me laissai aller à l'embrasser afin de combler le désir qu'elle venait tout juste d'exprimer et c'est en détachant mes lèvres des siennes que je m'aperçus de ce regard – coquin et diabolique – qu'elle me lançait. Je me laissai faire alors qu'elle me retira mon peignoir et c'est alors qu'elle m'agrippa par la gorge … d'instinct – je dois m'en confesser – je ne savais pas trop comment je devais réagir. Et puis c'est alors qu'elle m'embrassa à pleine bouche, glissant ses mains tout contre mon torse se permettant même de le griffer. Les coups de langues qu'elle me fit – allant du creux de mon cou jusqu'à mon torse – se voulaient de nature à me faire frissonner si bien que j'en étais venu à m'abandonner à elle gémissant sous la douceur du traitement qu'elle me réservait. Ne portant pas la moindre attention à la présence de la domestique je m'étais abandonné à Eva alors qu'elle guidait mes mains tout contre son corps, m'invitant même à aller la rejoindre. M'approchant d'elle je l'embrassai sur l'épaule et dans le creux de son cou tout en faisant tomber une de ses bretelles alors qu'elle baissait la tête m'offrant même une vue des plus plongeante sur ses formes. Ce coup de langue, plus que subtil, contre mes lèvres et ce baiser sauvage avait été de nature à me rendre fou de désir. Frissonnant alors qu'elle guidait mes mains afin de faire tomber son haut, pour ensuite me caresser le torse, je me laissai faire alors qu'elle m'attira tout contre elle afin que ma tête et mes lèvres en viennent à effleurer cette poitrine opulente qu'elle n'avait pas hésité à m'offrir.