friendship never end

L'heure du déjeuné ou l'une des heures que je préfère le plus au monde. Avec celle de dormir et de faire la fête. Même si j'aimais beaucoup ce que j'étudiais -le droit- j'aimais pas tellement les cours. C'était intéressant mais faut le dire, c'était plutôt chiant ! Mais bon, il fallait bien passer par là pour arriver à bon but final : devenir la plus grande avocate pour enfants de tous les temps. En attendant, c'était la pause déjeunée pour moi. Il était treize heures et je ne reprenais qu'à quinze heures avec une option que j'avais choisie. Aujourd'hui, je devais normalement déjeuner avec mon demi-frère Clover, mais Dieu seul sait ou il est parti. Je suis sur que c'est en rapport avec ses fréquentations bizarres et donc avec le fait que ce soit un revendeur de drogue. Il pense que je le ne sais pas, enfin par exactement, alors que c'est tout le contraire. Mais bon, ce n'était pas le moment d'y penser. Oui oui, quand j'ai faim je néglige un peu tout. C'est comme quand je vais dormir, ou faire du shopping ... ou encore faire le fête ! Je dus traverser la moitié du campus pour enfin arriver à la cafétéria. Quelle idée d'avoir cours à l'autre bout eux aussi ? Du coup, quand j'arrivais, il y avait plein de monde. Je n'avais vraiment pas envie de faire la queue et j'avais vraiment la flemme d'aller jusqu'à la maison des sigmas pour manger. La prochaine fois, peut-être que je penserais me faire mon propre déjeuner. J'allais me placer tout au bout de la file mais j'entendis mon prénom. Amen ! J'étais sauvée. Léane se trouvait bien devant moi et elle me faisait signe de venir. Je l'avais pas croisé ce matin à la maison, donc quand je fis à ses côtés -après quelques commentaires des personnes que je doublais, mais je m'en contre foutait- je lui fis la bise. « Hey Léa ! Je savais pas que tu étais en pause déjeunée maintenant sinon je t'aurais envoyé un message ! » lui dis-je en souriant. Léa c'était la jolie blonde que je courrais voir quand j'avais quelque chose d’intéressant a raconté sur moi ou sur quelqu'un d'autre. En plus on était dans la même sororité donc sa nous rapproché encore plus. « Comment ça vas-toi ? » Je savais que je pouvais lui faire confiance, mais c'était par pour autant que je lui avais dit pour l'histoire bizarre de mes parents, le fait que je sois une bâtarde quoi.